Déjeuner et dessert
Datte: 13/03/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
Auteur: Cedral, Source: Revebebe
... de mon côté. Ou, plutôt qu’un regret, une petite surprise par rapport à ce que j’attendais.
— Oui ? Dites-moi, Hélène.
— C’était la fin de la matinée et vous m’avez demandé de vous présenter mon cul. J’ai beaucoup aimé cette invite, crue et directe, et j’y ai accédé avec plaisir, docilité et gourmandise. Et je ne vous cache pas que je m’attendais que vous terminiez la belle séquence qui précédait en me sodomisant assez bestialement par terre dans votre bureau, sur cette belle et douce moquette épaisse. Vous avez préféré, au dernier moment j’ai l’impression, emprunter la voie plus classique. Ce fut bon, et bien, mais je pensais vraiment à votre dard qui aurait pu au même moment coulisser dans mon cul.
Les propos étaient bien sûr tenus à voix assez basse et les tables étaient suffisamment espacées pour que tout ceci reste confidentiel ; mais l’échange était quand même bien direct.
— S’il vous plaît, Jérôme.
— Oui ?
— Ne me demandez pas mon cul quand vos intentions sont autres ; et quand vous me le demanderez, soyez gentil de l’honorer.
Il ne répondit pas et ils commencèrent tous les deux leur déjeuner.
Entre deux bouchées qu’ils dégustaient, il changea de sujet en passant sans transition du coq à l’âne, comme il était prouvé qu’ils savaient et aimaient le faire.
— Donc, je constate avec plaisir que vous avez mis votre soutien-gorge.
Ils sourirent de nouveau de concert.
— Bravo, Jérôme, pour votre allusion presque aussi transparente que mon chemisier. ...
... Avouez qu’une décision inverse de ma part aurait rendu la situation sans soutien-gorge plutôt embarrassante, dans un restaurant si raffiné, et qui constitue une des raisons de mon choix. Alors que personne, sauf vous-même, ne sait que je n’ai donc pas mis de culotte.
— Sans doute ; mais vos seins sont superbes et je les ai beaucoup appréciés ce matin.
— Merci, mais il me semble que vous avez aussi apprécié tout le reste.
— Du moins, ce que j’ai déjà goûté. Et, vous le savez, nous avons tant à faire, et donc tant à découvrir. Il nous reste tant de plats, parfois très épicés, dont le goût nous est encore inconnu.
— Quant aux raisons qui m’ont fait enlever le bas plutôt que le haut, je viens de vous en donner la plus spectaculaire et la plus évidente ; mais sachez qu’il en est de multiples autres.
— ?
— La première d’entre elles étant que ma culotte a déjà été beaucoup sollicitée ce matin et que, si vous me permettez ce petit mot, elle ne serait pas forcément en odeur de sainteté dans un établissement tel que celui-ci. Nous aurions pu nous faire remarquer.
Elle piqua un petit morceau de truffe de sa fourchette et lui demanda de le goûter, et de commenter.
— Réellement, vous venez encore de bander ? Triple bravo, Jérôme.
— Vous évoquiez il y a quelques instants, Hélène, la « situation sans » que vous vouliez éviter. Mais n’êtes-vous pas, plus bas dans votre anatomie, aussi en « situation sans » ?
Pour la première fois depuis longtemps, il venait de la désarçonner un ...