1. Déjeuner et dessert


    Datte: 13/03/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Auteur: Cedral, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents : Après un bien agréable samedi matin passé dans les bureaux de Jérôme situés sur la plus belle avenue du monde, c’est l’heure d’une pause-déjeuner bien méritée.
    
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    Quelques minutes plus tard ils firent ensemble les quelques centaines de mètres qui les séparaient de ce restaurant où l’on servait sans façon et presque sur le pouce du caviar et quelques autres spécialités amusantes. Le choix de la table avait manifestement été réglé préalablement et ils se trouvèrent rapidement confortablement assis. DeuxPerrier en apéritif, car il voulait que l’haleine reste fraîche pour ce qu’ils auraient à faire plus tard, et le maître d’hôtel vint pour la commande. Il ne laissa pas sa partenaire se saisir de la carte.
    
    — Sauf si Madame y voit un inconvénient, nous prendrons deux assiettes de pâtes aux truffes, que vous faites habituellement si bien.
    
    Elle ne trouva rien à redire et le maître d’hôtel repartit avec cette simple commande.
    
    — Vous êtes bien directif, Jérôme, même pour commander les plats, lui dit-elle d’une voix qui ne comprenait aucune once de reproche, mais au contraire presque de l’admiration.
    — Non, ce n’est pas une question d’autorité mal placée, mais leurs pâtes aux truffes sont divines, répondit-il très simplement et naturellement, et j’ai vraiment très envie que vous y goûtiez.
    — Aussi bonnes que ma truffe à moi ?
    
    Interloqué et pris de court, il releva les yeux vers elle, qui souriait ...
    ... doucement et naturellement, et sentit subitement sa nature intime entreprendre un petit mouvement d’érection. Il se reprit quand même assez rapidement.
    
    — Vous venez de me faire bander, Hélène.
    — Quel bonheur que cette nouvelle, car je craignais qu’après votre bel effort de ce matin, vous ne mettiez un peu plus de temps à reprendre des forces. Il le faut car l’après-midi va être beau mais exigeant. C’est moi qui me mets aux commandes, vous vous souvenez ?
    — Quant au goût de votre truffe, Hélène, je me souviens uniquement qu’il est délicieux, mais je vous avoue que je ne l’ai pas en bouche actuellement.
    — J’espère en tout cas que les pâtes sont de leur côté un peu dures sous la dent ; j’aime beaucoup ça aussi, ajouta-t-elle sans avoir l’air d’y toucher, presque distraitement. Dites-moi sincèrement, Jérôme : est-ce que je viens de vous faire bander de nouveau ?
    
    La commande arriva à la fin de cet échange un peu leste auquel elle venait de prendre grand plaisir, ce qui permit à son amant de ne pas donner une réponse qui eût été positive. Ils dégustèrent effectivement, en esthètes amateurs qu’ils étaient – pour tout – ce plat superbe. Ils savaient décidément se montrer l’un à l’autre qu’ils pouvaient préparer et déguster les meilleures choses de la vie. Le plat se présentait superbement et ils s’apprêtaient, l’un et l’autre, à y faire honneur quand elle prit la parole avant de commencer.
    
    — Bien belle matinée, cher Jérôme, pleine et complète. Avec toutefois juste un petit regret ...
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