Déjeuner et dessert
Datte: 13/03/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
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Auteur: Cedral, Source: Revebebe
... laissant attaché sur le bureau, nu et offert.
Elle s’absenta quelques minutes pour se préparer de nouveau un café qu’elle se plut à revenir savourer sur le bureau du directeur. Celui-ci restait allongé sur son propre bureau, solidement attaché par les poignets liés l’un à l’autre, incapable de parler à cause du slip d’Hélène qu’il avait enfoncé dans la bouche, et les yeux bandés par les bas noirs de sa maîtresse. Il n’était donc qu’un jouet passif qui devait se contenter d’entendre ce qu’il y avait à entendre et d’attendre le bon vouloir de sa cavalière.
— J’aime vraiment ce moment, cher Jérôme. J’aime votre corps, et ce ventre plat. Et même si votre tige est en ce moment un peu molle, je compte bien la revigorer pour en profiter de nouveau un peu plus tard.
Installée dans le grand fauteuil, elle caressait à volonté le corps allongé qui lui était offert. De son côté, il ne savait pas d’où venait chaque caresse, et d’où proviendrait la suivante. De temps en temps elle se levait pour se pencher sur telle ou telle partie du corps de son amant, pour emboucher son sexe qui reprenait progressivement quelque vigueur, pour humer ses aisselles odorantes, pour lui enlever quelques instants, avant de la lui remettre juste après, la culotte qu’il avait en bouche pour l’embrasser profondément, pour le chevaucher sur la table en frottant son propre sexe sur plusieurs parties différentes de l’anatomie de l’homme, pour enfoncer le nez de Jérôme dans sa propre intimité, puis dans la ...
... deuxième ; bref, pour profiter complètement, à fond, et à fonds, du cadeau qui lui était offert et qu’elle avait su mériter : le corps offert, ouvert, disponible et sans défense qu’elle avait là sous la main, sous les mains. Parfois même sous le sexe !
Il était allongé au milieu de son immense bureau en chêne. Elle était pour sa part assise dans le grand fauteuil en cuir. Elle n’avait rien d’autre à faire que de jouer doucement avec ce qu’elle avait sous les yeux. C’est bien entendu le pieu de l’homme qui l’intéressait surtout. Il était maintenant bien dressé. Elle le caressait doucement, l’enserrait voluptueusement, le massait, le sentait, le goûtait ; le faisait coulisser. S’en délectait en le mettant en bouche. Elle en parlait à Jérôme, avec d’autant plus de plaisir qu’il ne pouvait répondre.
À un moment, il comprit qu’elle avait saisi une feuille de papier pour y écrire quelques phrases, assez longuement. De temps en temps, comme autrefois les écoliers trempaient leur porte-plume dans l’encrier, elle avançait le bras et entourait le sexe dressé de son amant, ce qui semblait lui redonner de l’inspiration dans son écriture.
— Je viens, Jérôme, de vous laisser un mot, que vous ne lirez que plus tard, quand je serai partie. Je le mets sur la table basse.
Pour l’heure, il crut entendre Hélène enlever ce qui lui restait de vêtements – mais il faut bien dire que, sans l’aide de la vue, il ne savait plus très bien où il en était – avant de monter sur la table et venir ...