1. Berlin


    Datte: 15/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne Auteur: charime, Source: xHamster

    ... description détaillée de la tronche du directeur. Têtu, il revient à la charge en pénétrant comme un cyclone dans notre bureau. J’étais debout à classer un dossier. Si Isabelle est impressionnée parce qu’il est directeur, je ne me démonte pas. Appuyée contre le bureau d’Isabelle, je croise les bras et le toise de manière sévère.
    
    - On veut sa petite fessée ou sa petite bite dans nos jolies bouches. Je vous préviens, je suis pour les nouilles épaisses et longues pas spaghetti tout fin sec et court. Alors ?
    
    - Je pourrais vous casser et vous renvoyer, vous le savez ça ?
    
    - La belle affaire, mon gros. Seulement, tu vois, y a un hic. Oui, dans ton bureau, j’avais mon dictaphone (que je sors de ma poche) tout neuf, regarde, il n’est pas mignon avec ses piles toutes neuves ? À ta place, je commencerai à me poser quelques questions, surtout une, sur ton avenir. On m’a briffé sur toi, j’ai un chef très consciencieux au siège. Avec lui, oui, je peux bien être sa chienne. Mais avec toi, je serais si chienne qu’un toubib aurait bien du mal à te reconstruire. Oui, je suis la putain de ma Maîtresse, mais c’est une femme de caractère, une dominatrice, pas une larve comme toi. Elle a tous les droits sur moi, TOUS, alors que t’en as aucun. Elle peut me donner à des mecs, pas à des larves. Une larve, ça mérite sa friandise. Toi, j’ai une putain d’envie de t’envoyer te faire mettre par une vingtaine de mecs, ceux que tu appelles pédé en riant comme un idiot. Pour moi, ils sont des ...
    ... hommes qui aiment des hommes et qui savent ce qu'aimer veut dire. Toi, tu leur servirais de vide couille. Isabelle, tu pourrais t’imaginer cette larve ridicule enculée et obligée de sucer des dizaines et des dizaines de bites tendues ? Moi si ! Bon, tu décides quoi, larve ou dirlo responsable ? Heu, si t’as rien à rajouter, tu peux aller rejoindre tes poufs de la réception. Je ne les aime pas, je déteste les lèches-culs, c’est suce pet. Sinon, passez une excellente journée, mon biquet.
    
    Le pauvre, il s’est pris le râteau de sa vie et devant Isabelle qui souriait, se retenant d'éclater de rire et, qui plus est, totalement dans mon jeu. Humilié, il repart rouge de honte ou de colère, en fait, je m’en fous complètement. S’il avait su que mon dictaphone était en panne. Bref, nous ne le voyons plus de la journée. Par-contre, Isabelle est dans tous ses états. Sa main sous sa jupe, elle se branle sans honte. Je ne peux m’empêcher de lui caresser longuement ses joues. Quand ma bouche se dépose délicatement sur ses lèvres entre-ouvertes, nous nous échangeons de petits bécots lascifs. Je lui susurre de bien se caresser, d’y ajouter deux doigts, un œil sur l’écran qui donne sur le comptoir. Je me place derrière elle, lui reversant sa tête, l‘embrassant de manière explicite en massant ses seins, ses bons gros seins. Soudain, sa chaise recule, elle est jambes tendues et un long soupir s’extirpe de sa bouche pulpeuse. Je m’agenouille, retirant ses mains de sa chatte et les lèche en la fixant ...
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