1. Berlin


    Datte: 15/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne Auteur: charime, Source: xHamster

    Chapitre 5 : Esclave de ma soumission et de mon travail.
    
    Mademoiselle nous délivre. À coup de martinet, elle nous repousse dans ma chambre, nous enferme dans la cage sous le lit. Sans un mot, elle retire ses vêtements. Assise devant la cage, les jambes pliées, écartées, elle se branle en nous insultant copieusement et plus bas que terre. Ses moqueries ne font qu’attiser nos fantasmes les plus violents. Quand elle se pince ses seins, puis qu’elle étire son clito démesurément, je ne peux me retenir de pousser ce râle de plaisir qui va me valoir le martinet ou pire, le fouet.
    
    La sanction ne tarde pas. Avant que je ne sorte de la cage, elle m’attache une laisse à mon nez. Sur mes épaules, elle dispose sa cape. Mes mains attachées dans mon dos. Elle me pousse vers a sortie. Dans la rue, il me semble que tous les passants me voient nue. Elle me dirige vers cette boite où, le premier soir, elle m’avait mise entièrement nue devant les clientes. Seulement, c’est devant la porte qu’elle retire mon unique vêtement qu’elle laisse choir sur le macadam. Avec mes dents, je m’accroupis pour la ramasser.
    
    - Tu aimes ça ma salope, tu mouille comme si tu pissais, sale truie.
    
    Elle le dit assez fort que tous, loin à la ronde, puissent entendre sa voix moqueuse. Je crois voir toute la planète me fixer. J’ai honte, une honte qui m’emporte sans même me toucher quand la porte s’ouvre. Mon orgasme dur un long moment. Mademoiselle me pousse à l’intérieur en claquant sa cravache sur mon cul. ...
    ... La cape tombe, à genou, bien penchée en avant, je m’efforce de la ramasser pendant que Mademoiselle me rougit davantage mon popotin. Je continue à genou, la cape entre mes dents et Mademoiselle qui fustige maintenant mon dos, juste entre mes épaules. Dans la salle, une bonne vingtaine de couple uniquement féminin me regardent avancer. Je dois être rouge de honte. Déjà certaines se lèvent, des dominatrices. On me palpe parfois douloureusement. On me fouille, cul et sexe, tout y passe, même ma bouche est visitée par ces mains peu délicate. Je sens que je vais en prendre pour mon grade.
    
    - Voilà ma nouvelle pute, ma merveilleuse petite pute qui se fait anneler sans mon autorisation. Elle mérite votre mépris car elle cherche à devenir l’une des nôtres, une pourrie attirée par le fric. Je vous l’abandonne jusqu’à la fermeture. Elle est à vous.
    
    Si je voulus protester, on ne m’en a laissé pas le temps. Je suis rapidement muselée par un adhésif solide. On me suspend par mes bras, me forçant à me plier en deux. Sur mes seins, on accroche des chaines assez lourdes pour me faire grimacer. On les tire en les passants derrière mon cou. Sur ma croupe, une chevrière siffle et le fend de trait. Les coups se succèdent, de mes mollets à mes épaules. La douleur est vive, je pleure. Devant moi, sur un confortable fauteuil, Mademoiselle se fait lécher la moule par une autre salope de mon espèce. Je voudrais la supplier pour remplacer cette pute qui me chipe ma place. J’ai mal de partout. On ...
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