1. Berlin


    Datte: 15/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne Auteur: charime, Source: xHamster

    ... trop, enfin tout dépend dans quelle circonstance tu te fais percer.
    
    - Parce qu’il y a plusieurs méthodes ?
    
    - En effet, la version je ne veux pas être comme toutes les femmes. La version oui Maître ou Maîtresse, comme dans mon cas et il y a la version je veux me faire plaisir en étant différente des autres.
    
    - Attends, t’as bien que tu avais une Maîtresse, cela sous-entend que tu sois une soumise ?
    
    - Tu sous-entends bien, je ne vis que pour celle qui m’a dévergondé. Je ne suis pas la seule, elle a, en plus de moi, deux autres femmes, mes deux amours si tu préfères.
    
    - T’es une gou…
    
    - Chut, non, bi. Mais pas mes amours, elles le sont et déteste qu'une bite, si belle soit-elle, les pénètre.
    
    Isabelle change radicalement de comportement. Sans se faire pressante, elle insiste néanmoins pour tout connaitre de ma vie. Pour elle, c’est me donner la clef de sa vie. Oui, d’entrée, je lui impose ma vision des choses. Je ne me montre pas autoritaire, je ne crois pas en avoir besoin. Elle est captivée en apprenant comment je suis devenue putain d’une femme et ses complices. Je distille ma vie au compte goute, jour après jour. Plus elle en apprend, plus elle se rapproche de moi. De quoi aiguiser mon appétit, mon envie de corrompre qui me plait.
    
    Un vendredi soir, en sortant du travail, Mademoiselle m’attend, la portière arrière ouverte, Béa est au volant. Devant Isabelle, je me comporte en soumise, m’agenouillant sur le bas de la portière et baisant la main de ...
    ... Mademoiselle. Quand la voiture part, je jette un coup d’œil sur Isabelle qui, sur le trottoir, est restée bouche bée. Ce que je n’ai pas vu, c’est le directeur derrière sa fenêtre tintée.
    
    Dès mon arrivée, le lundi, il me convoque dans son bureau. Je vois une cravache à deux balles posée bien en vue sur son bureau. Ce con n’a même pas besoin de m’expliquer. Je ne compte pas entrer dans son jeu. La preuve quand il me lance qu’il me veut à ses pieds d’un air qu’il n’a pas, sévère. Ma réponse est encore plus cinglante qu’un coup de fouet.
    
    - Ne compte pas sur moi pauvre con. Moi, les mecs comme toi, il paie pour me baiser mes pieds ou se font tout petit pour quémander mes faveurs. Toi, tu t’es vu, mon gros. T’as rien d’un mec, d’un vrai, j’entends. T’es tout juste bon à secouer ton haricot sec dans ta main. Faut avoir des couilles pour être mon Maître. La cravache ne fait pas le dominateur dans ton cas, tout juste la larve qui me sert de paillasson, tu sais comme celui devant la porte, celui où tout le monde essuie ses godasses sales. Alors si tu veux jouer au méchant avec moi, faudra m’en montrer un peu plus. De plus, la seule personne qui peut te permettre, et encore, si tu es très gentil avec elle, c’est ma Maîtresse, celle à qui j’appartiens corps et âme. Toi, t’es tout juste un guignol, un pantin, une ridicule mise en bouche pour ma dominatrice. Tchao, bonne journée.
    
    Et hop, je te l’ai mouché comme une fleur. Dans notre bureau, je raconte tout à Isabelle. Je lui fais une ...
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