1. Berlin


    Datte: 15/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne Auteur: charime, Source: xHamster

    ... m’encule d’une main entière sans pratiquement aucune préparation. Cette fois, Mademoiselle est décidée de me faire uniquement souffrir. Peu m’importe si c’est pour elle que je dois endurer cette punition. Je sais que je la mérite plus que personne.
    
    De derrière Mademoiselle, la honte arrive par l’entremise de Béa. Moqueuse, elle repousse la pute qui lèche Mademoiselle et prend sa place. Mon corps n’est plus que douleur. Je sais déjà que ce n’est pas terminé. Si on arrête de me frapper, on coule de la cire brulante sur toutes mes parties hautement sensibilisée par cette longue séance de chambrière. Je me tortille fixant toujours Mademoiselle qui bavarde sans même plus me regarder. J’endure tout ce que peut mon corps et même bien au-delà. Mais à la troisième aiguille dans mes seins, je perds connaissance.
    
    Je me réveille sur mon lit, Béa me soigne, Mademoiselle n’est pas présente. Je la suppose déjà en train de cruellement punir un de ses payant. Non, elle est là, un café à la main, elle me redresse, déverse un peu de ce breuvage dans ma bouche. Agnès, déguisée en une aguichante infirmière, est aussi de la partie.
    
    - Merci Mademoiselle, je sais maintenant ce que je peux endurer par amour pour vous et ce n’est pas encore assez.
    
    - Oh si, c’est assez. Tu en as fait bien plus que je ne me serais permise. Repose-toi ma chérie, je reviens ce soir. Agnès, occupe-toi de ta Maîtresse avec amour. Béa, soigne-là bien, ma douce.
    
    Elle nous quitte non sans nous avoir longuement ...
    ... embrassées tour à tour.
    
    L'agence, beurk !
    
    Deux mois et demi, ça passe beaucoup trop vite quand on aime, me voilà devant l’agence. Je me présente au directeur, un homme d’une bonne quarantaine d’année, ventripotent par un manque visible d’exercice, le crâne à moitié chauve et cette mèche ridicule qui tente de recouvrir maladroitement cette moitié de calvitie. Il me fait sourire quand il se lève pour m’accueillir, sa chemise une taille au-dessous est tendue, les boutons prêt à m’exploser au visage s’il venait à tousser. Pire, il ne faudrait pas qu’il éternue, il serait torse nu avec sa chemise en lambeau. Enfin, ce pantalon usé, pas digne d’un directeur d’agence. Non, il me fait pitié. Pourtant, le son de sa voix est si agréable, elle détonne avec le reste, c’est certain. Pour un peu, avec la permission de Mademoiselle Janice, je le sucerai avec appétit si son corps était à l’égale de sa voix. Il me fait un très court topo de l’agence en me servant un jus de chaussette infecte en guise de café. Mon travail consiste à recueillir les plaintes des clients, d’enregistrer leurs griefs tout en les apaisant le plus possible. Il me guide, toujours un pas derrière moi, à reluquer mon cul derrière ses grosses lunettes. S’il savait qui je suis, ce que je suis, il banderait à s’en faire péter sa braguette. Pire, peut-être, il me ferait un arrêt cardiaque. Nous passons par tous les bureaux. Il prend un malin plaisir à me présenter, l’air de dire que je suis la prochaine sur sa liste. ...
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