1. Les femmes du hammam Episode 1 : Baya et Djamila d


    Datte: 15/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou Humour Anal Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... comme un jugement :
    
    - En’ta radjel ou ta‘aref ett-nik ! Ach-hal hebit radjli i-chouf-na ki kount ett-nik-ni !
    
    Bghit i-hass rouhou ettahane! (Tu es un homme et tu sais baiser! J’aurais tant aimé que mon mari
    
    nous ait vus pendant que tu me tirais ! Je voudrais qu’il sente qu’il est cocu !)
    
    Devant mon air ébahi, elle se mit à me raconter son histoire – et celle de Djamila par la même
    
    occasion - avec son mari Mourad. J’appris ainsi qu’elle et Djamila étaient des belles-sœurs (elles
    
    étaient mariées à deux frères) et qu’elles habitaient ensemble dans un appartement du centre ville,
    
    avec leur belle-mère et leurs enfants (Baya avait deux enfants de six et huit ans, Djamila avait un
    
    bébé d’une année).
    
    Baya s’était mariée, contre son gré - elle n’avait que dix-neuf ans - parce que ses parents
    
    l’avaient surprise entrain de flirter avec un jeune voisin, dont elle était amoureuse. Il était lui
    
    aussi très amoureux d’elle – affirmait-elle. Elle avait été demandée en mariage juste auparavant par
    
    la maman de Mourad qui la connaissait à travers une relation familiale commune. Elle ne put pas
    
    faire autrement qu’accepter, parce que sa mère l’avait menacée d’informer son père sur sa relation
    
    avec le voisin. Et connaissant les idées rétrogrades de son père, elle avait eu peur qu’il ne s’en
    
    prenne physiquement à son amoureux et ne le tue.
    
    Mourad s’avéra être un mari traditionnel et encore plus rétrograde que son père. Pour lui, comme
    
    pour son ...
    ... frère Ali qui épousa plus tard Djamila, une femme est faite pour rester à la maison et
    
    s’occuper de son foyer. Il n’est pas question pour elle de sortir, de se faire des amies et d’avoir
    
    une quelconque liberté. Et quand les choses dérapaient (quand ils se disputaient) il réglait le
    
    problème à coups de gifles et parfois même, à coups de poings. Il lui répétait souvent que les
    
    femmes – toutes les femmes, à l’exception, par respect, de sa mère – étaient des putes. Si on leur
    
    laissait la moindre espace de liberté, elles en profiteraient pour copuler à droite et à gauche. Il
    
    avait quant à lui trouvé la solution pour s’assurer de la fidélité forcée de sa femme : la mettre
    
    sous la coupe de sa mère, et lui interdire ainsi toute idée de liberté.
    
    La seule liberté qu’il acceptait, parce qu’elle était traditionnelle dans la société et était donc
    
    devenue naturelle, c’était le bain – le hammam pour femmes – le samedi en compagnie, bien entendu,
    
    de sa belle-mère. Ce ne fut que quatre années plus tard, quand son beau frère Ali se maria, que Baya
    
    eut un peu de compagnie et commença à aller au bain avec elle, en présence de leur belle-mère au
    
    début, puis seules, après que la mère de leurs maris avait eu un accident cardiaque qui lui
    
    interdisait, désormais, de fréquenter le hammam.
    
    Elle s’entendit très vite avec Djamila, qui était une femme qui aimait la vie. Mais elles comprirent
    
    toutes les deux que leur entente déclarée était pour elle un handicap qui ...