Les femmes du hammam Episode 1 : Baya et Djamila d
Datte: 15/09/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Humour
Anal
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... d’admirer l’ensemble de la chatte de la femme. Je la fis assoir sur le
bord du canapé et lui fis écarter les cuisses de manière à avoir accès à son paradis. Elle écarta
ses jambes et me regarda - avec ses yeux qui brillaient de désir - pour deviner ce que j’avais
l’intention de lui faire. Je ne savais pas ce qu’elle voulait que je lui fasse en priorité. Et pour
dire la vérité, cela ne me préoccupait nullement. J’avais décidé d’y aller à l’instinct et de lui
faire exactement ce qu’il m’ordonnait. Et à la vue du spectacle de sa merveilleuse chatte ouverte et
offerte, ce que j’avais envie de faire à ce moment là c’était d’approcher ma tête pour m’enivrer du
parfum d’ambre qui se dégageait d’elle et d’y plonger ma bouche pour l’embrasser, la lécher, la
sucer et boire tout le jus que je voyais briller à l’intérieur.
J’avançai la tête vers la chatte de ma belle et plongeai ma bouche pour un énorme cunnilingus. Je
voulais la faire jouir avec ma bouche, comme elle l’avait fait tantôt avec moi. Je me mis à
embrasser et sucer les grandes et les petites lèvres. Je fis pénétrer la langue dans son tunnel et
la fis aller et venir le plus loin qu’elle pouvait aller. De temps en temps j’attrapais avec mes
lèvres, son clitoris – qu’elle avait tout petit – pour le titiller et accroître l’excitation de
Baya. Le fort parfum d’ambre qui se dégageait de la chatte de ma belle avait sur moi un véritable
effet aphrodisiaque ; il réussit même à ...
... intensifier on excitation, que je croyais pourtant être à
son paroxysme. Baya qui jusque là ne faisait que pousser de petits cris de plaisir, se mit soudain à
avoir de longs râles rauques, qui provenaient du plus profond de sa gorge. Elle accompagnait ses
râles par des mouvements saccadés de ses hanches, qui montaient et descendaient au rythme des
allers-retours de ma bouche sur et dans sa chatte. Elle serrait très fortement ma tête à laquelle
elle appliquait des pressions pour la guider dans ses mouvements et dans le rythme qu’elle lui
faisait prendre.
J’entendais, comme s’ils provenaient de très loin - parce qu’elle avait enserrée ma tête entre ses
cuisses - ses râles qui augmentaient d’intensité, ainsi que les phrases qu’elle prononçait pour
donner plus d’intensité au plaisir qu’elle prenait. Elle parlait en arabe, en lançant à voix haute
des mots crus ou des bouts de phrases impudiques, qui étaient destinées non pas à moi, son amant,
mais à son mari. Elle semblait, en même temps qu’elle jouissait, être entrain de régler ses comptes
avec Mourad, son mari.
- Ya ettahane, ya Mourad ! Chouf martek ! Radjel yakoul-l‘ha hatchoun‘ha ! (Mourad espèce de
cocu! Regarde ta femme ! Un autre homme est entrain de lui bouffer la chatte !) Hleft en-direlek
groun ! (J’ai juré de te faire pousser des cornes !) Ou dertlek groun ! (Et je t’ai fait pousser des
cornes !)
Baya finit – sous l’effet conjugué du cunnilingus d’enfer que je lui appliquais et ...