Amandine et sa Mère
Datte: 15/09/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
profélève,
intermast,
Oral
nopéné,
init,
Auteur: Fabrice sensuel, Source: Revebebe
... me dit-elle. Vous devez aimer vous aussi, non ?
— Ta mère a très bon goût.
Du fait de l’absence de sa mère, elle me demande si une pizza à commander cela me conviendrait. Bien entendu, j’accepte. Elle téléphone donc notre choix.
En attendant, elle m’offre du vin blanc très frais comme apéritif et vient s’installer dans le fauteuil unique de l’autre côté de la table de salon.
En face de moi, j’ai une jeune fille de dix-neuf ans vêtue comme une jeune femme épanouie. À mon regard d’homme mûr de cinquante ans, s’offrent deux belles jambes surmontées d’une jupe fendue et serrée qui remonte assez haut laissant entrevoir la blancheur laiteuse de deux cuisses prometteuses de plaisirs charnels.
Visiblement, Amandine se rend compte de l’intérêt que je porte à ses jambes. Elle ne fait rien pour les cacher. Au contraire, discrètement, elle les décroise et leur donne une amplitude plus importante laissant entrevoir de la dentelle mauve assortie à son soutien-gorge.
En homme habitué aux situations chargées d’érotisme, ce geste ne m’a pas échappé. Je lui adresse un sourire et je ne peux m’empêcher de croiser à mon tour mes jambes. Ainsi, j’emprisonne mon sexe qui commence à gonfler et je me donne des sensations très agréables…
L’atmosphère se charge de tensions hautement érotiques, rehaussées par le chant langoureux de Tracy.
C’est à cet instant que je propose de lever nos verres :
— On trinque ?… À quoi ?… À nos retrouvailles ?… À nous deux finalement !
— Oui, à ...
... nous, répond-elle, langoureusement.
Je me penche au-dessus de la table de salon, elle s’avance et, à son tour, bascule le thorax vers l’avant pour frapper nos deux verres.
J’ai une vue plongeante sur son décolleté. Voyant mon regard, sans doute pas trop discret, elle rougit quelque peu. Que de contrastes chez cette fille ! Autant elle peut laisser entrevoir sa culotte, effrontément, alors que, paradoxalement, elle rougit lorsque je laisse aller mon regard vers ses seins offerts dans leur écrin mauve ! Il est vrai que nous sommes très proches l’un de l’autre.
Si proches, que je sens sa respiration s’accélérer. Se rend-elle compte qu’elle va trop loin ? Je dois faire attention à ne pas la brusquer si je veux arriver à la séduire.
Je lui propose de s’asseoir près de moi. Elle accepte sans hésitation et se place de trois-quarts à ma gauche.
— Viens, lui dis-je, plus près. Je ne te mangerai pas. Le dernier ogre, je l’ai mangé hier soir !
J’essaie ainsi de détendre la tension que je sens monter en elle.
Je pose mon verre et je lui prends doucement le sien pour le déposer.
En me tournant légèrement vers elle, de ma main droite, je lui prends la sienne et la tiens sans forcer, la laissant libre de la retirer, à sa guise. Elle n’en fait rien.
Je sens sous mes doigts de légers tremblements qui montrent son émotion mais aussi, peut-être, son appréhension.
— Tu es très belle, Amandine.
Tracy Chapman accompagne agréablement ce moment de forte tendresse. ...