À cocu, cocu et demi - Histoires de Sexe

À cocu, cocu et demi

... alors m’apparut. Il était soigneusement taillé en triangle, montrant une légère toison brune. Je relâchai un peu la pression de mes doigts sur ses lèvres pour mieux admirer ce joyau qu’elle offrait à ma vue. Nathalie reprit peu à peu ses esprits et serra de nouveau énergiquement ma bite. Quant à moi, repensant tout à coup à ce qu’elle m’avait dit tout à l’heure au sujet de sa robe, maintenant relevée et toute chiffonnée sur son bas-ventre, je repris :

— À propos, dis-moi Nath, pourquoi n’oses-tu plus mettre cette robe « qui excite les hommes » ? Tu as eu des problèmes ?
— Ça, tu peux le dire !… C’est une histoire qui m’est arrivée il y a 3 ou 4 ans. Alors que je faisais les boutiques avec Julien, je tombe sur cette robe à la vitrine d’un magasin. Immédiatement conquise, je l’essaye. Mais une fois sur moi, je la trouve un peu trop courte, un peu trop osée. « C’est un peutoo much, tu ne trouves pas ? » dis-je à Julien. « Mais non, me répondit-il, elle te va à ravir. Tu es incroyablement séduisante avec. » Encouragée par mon mari, je l’achète donc et décide de la mettre pour la première fois à l’occasion du réveillon du jour de l’an qui suivait. Ce soir-là nous avions invité, avec leurs épouses, trois amis de Julien ; en fait, des relations de travail. Le problème est que je ne peux rien mettre sous cette robe dont le tissu est si fin. On voit le moindre sous-vêtement, même le plus petit string. Je me suis donc présentée à ce réveillon nue sous ma robe. Eh bien figure-toi ...

... que pendant toute la soirée j’ai eu quatre paires d’yeux mâles braquées sur moi et qui n’ont cessé de me déshabiller du regard toute la soirée. Leurs regards étaient si insistants que j’en fus même gênée par moments, contrainte de constamment surveiller que cela ne remonte pas trop. En même temps, les trois autres femmes me fusillaient du regard, jalouses de ne pas attirer autant que moi l’attention des hommes… Mais ce ne fut pas tout. Après le champagne, on décida de danser, d’abord des rocks, puis des slows. Et là, nos trois invités mâles me voulurent chacun à leur tour pour cavalière… Et là, j’te raconte pas ce que j’ai subi de frottis-frottas et de caresses insistantes dans le dos et même sur mes fesses. Désinhibés par l’alcool, les amis de Julien étaient devenus incontrôlables. Il y en a même un qui s’est amusé, alors que nous dansions ensemble, à tirer discrètement sur les fines bretelles qui retiennent ma robe derrière le cou, si bien qu’à la fin, quand nous nous séparâmes, le haut de ma robe retomba sans que je m’en aperçoive tout de suite, découvrant partiellement ma poitrine. Trop contents du spectacle qui leur était offert, les hommes lancèrent en chœur des cris et des sifflets admiratifs tandis que les femmes me lançaient des regards assassins… Rouge de confusion, je m’empressai de renouer ma robe. Mais le mal était fait. Après cet incident, les hommes, désinhibés par l’alcool, mais surtout excités par cette maîtresse de maison qui n’hésitait pas à exhiber ses ...