Avec ascenseur
Datte: 14/09/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
voisins,
piscine,
entreseins,
Oral
pénétratio,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... mais sa poitrine est un choc. Elle est généreuse, deux beaux lobes avec des tétons saillants, mais aussi elle semble étrangement ferme. De celles qu’on peut voir dans des films pornos sur des actrices relookées.
— Cadeau de Marc pour mes soixante ans.
Son regard a suivi le mien. Il doit marquer la surprise comme certainement la plupart de ses amants pour la première fois. Elle s’avance. Elle m’enlace. Je frissonne de son corps humide et frais. Ses seins s’écrasent contre ma poitrine. Le baiser est furtif, pas intrusif, mais elle me pousse vers la banquette. Elle m’accompagne alors que mes jambes fléchissent. Je m’assieds. Elle me quitte pour tirer sur mon maillot de bain, maillot qui glisse difficilement sur mes jambes, collé par l’humidité.
Mon sexe est une pauvre chose. De celle dont un homme n’est pas fier. Blanchâtre, plissée, flasque, ridiculement petite comme toujours à la sortie de l’eau. Mais il ne la rebute pas. Si elle chasse le mâle, dans ces conditions beaucoup doivent avoir cette apparence à moins de ne pas avoir subi le contact de l’eau. Ses lèvres sont des fers chauds qui repassent un tissu froissé pour en faire disparaître les plis. Ma queue s’éveille, à la chaleur de la bouche. Déjà j’en constate la vigueur lorsque la bouche la laisse libre pour en lécher la surface. C’est une experte. Experte par la façon dont elle se sert de sa langue pour se glisser dans le sillon à la base du gland insistant longuement sur cette zone si sensible. Experte dans sa ...
... façon de me gober les couilles, mes deux ballons de rugby qui se gonflent de sperme.
Mais elle a un autre but. Elle avance sa poitrine, pousse ma queue dans le sillon de ses seins et les pressant l’un contre l’autre transforme cette vallée en grotte. C’est la première fois qu’on me fait cela. La peau est douce, soyeuse. Elle bouge me branlant délicatement. Ma queue coulisse mal. Sa peau se frotte contre la mienne. Mais Martine laisse tomber de la salive. Ce n’est pas très élégant, mais efficace. Le sillon est gras. La salive est un parfait lubrifiant. C’est super excitant. Le visage de Martine respire l’envie. Ses lents mouvements sont des délices. Voir cette femme, ses deux mains écrasant les seins pour me proposer ce chemin est d’un érotisme torride. Surtout que malgré le bruit de l’eau, il me semble entendre le couple à côté.
J’ai envie de plus ? C’est moi maintenant qui baise la poitrine. Je bouge à mon rythme. Le plaisir me submerge. Merde, je jouis déjà. Je sens me répandre dans le sillon, brasser mon sperme, en chasser des larmes blanchâtres qui émergent en haut du sillon.
Que va-t-elle penser de moi ? Petit joueur. Trop rapide. Pire, éjaculateur précoce. Non, pas précoce, mais rapide, trop rapide. Mais j’ai de quoi compenser.
Elle ne semble pas m’en vouloir. Elle me suce à nouveau. Elle semble même apprécier mon foutre qu’elle récupère et avale. Une chose que Lise ne me fait pas et pourtant j’aimerais tant la voir faire. J’ai toujours aimé cela, mais peu ...