1. Avec ascenseur


    Datte: 14/09/2019, Catégories: fh, fplusag, voisins, piscine, entreseins, Oral pénétratio, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... cabines pour handicapés sont parfaites. Les couples adultères s’y retrouvent quant aux autres, ils ont vite fait de trouver le chemin. Il suffit de faire couler la douche pour qu’on n’entende pas et en plus de la banquette confortable, il y a des anneaux accrochés au plafond pour aider les personnes handicapées. Ça permet quelques fantaisies.
    — Vous voulez dire que vous avez déjà pratiqué.
    — Mais oui. Plus d’une fois. C’est parfait pour attirer un homme et le tester. J’invite les meilleurs à venir chez moi. Excellent vivier qui complète mes danseurs. Et crois-moi, savoir que derrière la cloison passent les gens, c’est jouissif. Tu connais maintenant, hein ?
    
    Elle parle d’hier.
    
    — Vous avez écouté ?
    — Oh oui et Marc aussi. Quel récital ! Et toi, quel effet cela t’as fait de savoir qu’on entendait. C’est excitant, non ?
    — Oui, je reconnais.
    — Tu vois.
    
    Et puis soudain sérieuse.
    
    — Ne te retourne pas. Discrètement regarde le couple qui discute derrière la baie.
    
    Le plus discrètement possible, je regarde les gens qu’elle m’a signalés.
    
    — Et alors. Qu’est-ce qu’ils ont de spécial.
    — Leurs mains ! Qu’est-ce qu’ils tiennent dans la main ?
    
    Je regarde. La femme à un sac de plage dans une main, un sac d’où sort une serviette. L’homme, lui, porte la serviette roulée sous le bras. Par contre, chacun a un téléphone. Je comprends.
    
    — Alors ?
    — C’est un couple« hook up », comme on dit. Un couple qui se forme à travers une appli, pour une baise sans « prise de tête ...
    ... ».
    — Voilà, tu as tout compris. Ce lieu de rendez-vous est parfait. Mais cela ne va pas durer. Obligatoirement cela va se savoir et la mairie va réagir.
    
    Je les regarde. Personnellement je n’ai jamais pratiqué. Lise non plus. Enfin j’imagine.
    
    Le couple bavarde. La femme est plutôt grassouillette, mais respire la joie de vivre. L’homme lui parle. Ils se sourient. L’homme prend la main de la femme qui met son téléphone dans son sac. Ils partent. Je les vois se diriger vers la sortie.
    
    — Viens, viens, on va les suivre, me dit ma voisine.
    
    Elle aussi me prend par la main. Dans le couloir qui conduit vers les vestiaires, l’homme se retourne, nous voit, mais continue. Mais alors qu’ils se dirigent vers le fond où sont alignées les cabines handicapés. Il se retourne à nouveau. Alors il arrête sa complice et nous regarde avancer. Martine continue sans sourciller, les dépasse et entre dans la première cabine. Aussitôt la porte fermée, elle me fait un signe de la main pour me taire et lorsqu’on entend distinctement une porte se fermer, elle fait un grand sourire.
    
    — Tu vois ce que je te disais.
    
    Elle me parle doucement à l’oreille.
    
    Elle est comme une gamine, heureuse de sa farce. Elle va plaquer son oreille contre la cloison qui nous sépare des autres, mais aussitôt on entend un bruit d’eau qui coule.
    
    — Dommage, dit-elle. Mais ça m’a excitée, pas toi ?
    
    Elle n’attend pas de réponse. Déjà elle enlève son maillot. Le tissu la moulait et donnait une idée de ses formes, ...
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