1. Découvertes


    Datte: 14/09/2019, Catégories: f, fh, hplusag, jeunes, extracon, inconnu, nympho, magasin, fdomine, revede, BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, nopéné, Humour revebebe, occasion, Auteur: CannelleS, Source: Revebebe

    ... érotique. Avec des détails bien croustillants, comme elle dit. C’est à cause de ça qu’elle a découvert le site, puis qu’elle m’en a parlé.
    
    Le soir même, on s’est connectés, Rachid et moi. Il a lu deux, trois histoires avec moi puis il est parti se coucher.
    
    — Je t’attends.
    — OK, j’en lis encore une ou deux, puis je te rejoins.
    
    Je suis restée collée à l’écran jusqu’à la moitié de la nuit ! J’ai lu un nombre incalculable d’histoires. Je crois bien que j’étais comme envoûtée, je pouvais plus m’arrêter. Quand mes yeux ont crié « pitié », j’ai rejoint Rachid. Lui dormait à poings fermés, le pauvre chéri avait sombré à force de m’attendre. Mais j’étais dans un sale état ! Jamais j’aurais pu m’endormir ! Alors, je l’ai réveillé vite fait ! Quelques caresses bien placées, quelques jeux de langue et l’affaire était faite, je sais bien comment je dois m’y prendre avec lui.
    
    On a fait ça comme des fous cette nuit-là ! Pendant que Rachid me faisait du bien dans toutes les positions, j’avais plein d’images qui se bousculaient dans ma tête. Toutes ces histoires stimulaient mon imagination, mon excitation. J’étais réceptive de partout ! Comme jamais ! Partout où Rachid posait ses mains, ou sa langue, ou autre chose, ça m’électrisait de manière démentielle ! Comme si on avait poussé à fond mes capteurs de sensibilité. Et j’en voulais toujours plus ! Et Rachid se démenait ! Et moi, je voyais des scènes d’orgies, de lesbiennes, de gang-bangs dans ma tête ! Des situations ...
    ... tellement hard, tellement pornographiques, tellement obscènes qu’en temps normal j’aurais pu avoir honte, mais là, je ne ressentais que de l’envie, de l’appétit, de la voracité !
    
    Et puis Rachid a demandé grâce, il n’en pouvait plus. Il s’est retourné et pas deux secondes plus tard, il roupillait.
    
    Chez moi, ça vibrait encore de tous côtés à l’intérieur. Sacré bon sang (comme aurait dit mon Papy) de trip ! J’étais déjà bien partie dix fois, mais je me sentais encore drôlement fébrile. Alors, j’ai continué le travail à la main. Ça faisait un bout de temps que je n’avais plus pratiqué, depuis Rachid. Mais c’est comme rouler à vélo, ça ne s’oublie pas, mes doigts ont vite retrouvé tous leurs petits endroits favoris. Là, je me suis sentie un peu honteuse. Surtout vis-à-vis de Rachid. Je sais pas, c’était un peu comme si je le trompais. C’est con comme raisonnement, mais ça m’a traversé l’esprit. Mais bon, je ne me suis pas arrêtée.
    
    J’entamais un deuxième round en solitaire quand le radioréveil s’est enclenché. Ça m’a bien ramenée à la réalité, tiens !
    
    Autant dire qu’au salon, j’avais une tête à effrayer un zombie, après ma nuit blanche endiablée. Tony, notre patron chéri – je rigole pas, c’est un amour avec nous – m’a demandé si j’allais bien, si je ne voulais pas rentrer me soigner, voir un docteur… Il m’a sciée pendant plus d’un quart d’heure puis il a fini par abandonner. J’ai eu plus de mal avec Sandrine. Je lui avais raconté que je n’avais pas trop dormi, une sorte ...
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