1. Voyage en train


    Datte: 12/09/2019, Catégories: fh, jeunes, inconnu, train, volupté, pénétratio, fdanus, Auteur: Mariechriss, Source: Revebebe

    ... qu’elle proteste ou cherche à l’enlever.
    
    — Je peux tourner la page ? lui demande-t-elle.
    — Euh…, oui, j’ai fini.
    
    Elle mouille son doigt sur sa langue rose et tourne la page lentement. Ils continuent à lire comme cela, page après page, doigt mouillé à chaque fois et sans prononcer une seule parole. Seule la chaleur de leur corps a augmenté et il la sent de plus en plus collée à lui. Au moment où elle lève son doigt pour la cinquième fois afin de tourner la page suivante, il bloque son geste avec sa main libre et, posant son index sur la bouche de Marie-Claude, lui ordonne d’une voix rauque,
    
    — Suce mon doigt, c’est moi maintenant qui vais tourner les pages !
    
    Surprise, mais déjà obéissante, elle prend dans sa bouche le doigt de Claude et le suce lentement, sur toute sa longueur, durant de longues secondes qui donnent à Claude l’impression de durer une éternité. Il retire son doigt mouillé, luisant de la salive de Marie-Claude, et tourne la page du livre sulfureux. Leur lecture commune continue. Le bras droit de Claude serre davantage ses épaules, attirant vers lui le corps brûlant de la jeune fille. Elle lui résiste un peu mais pas trop quand même. Il pourrait renoncer à ses projets qu’elle devine et qu’elle espère. Sa respiration s’est accélérée et il entend son cœur battre la chamade.
    
    Ils continuent à lire mais, maintenant, chaque fois qu’il faut tourner la page, elle attend qu’il lui tende son doigt, qu’il le pose sur ses lèvres humides. Alors, doucement, elle ...
    ... l’avale et le suce longuement jusqu’à ce qu’il décide de le retirer. Il ne le retire pas d’un seul coup, non, il le retire, l’enfonce à nouveau, le retire jusqu’au bord des lèvres et l’enfonce à nouveau et cela plusieurs fois de suite, simulant ainsi un coït buccal qui les excite au plus haut point.
    
    Marie-Claude sent que sa culotte est mouillée, elle ruisselle de cyprine ; jamais elle n’a bandé comme cela. Elle a envie qu’il la baise, là, sur le champ, dans ce wagon où la température est montée brusquement de plusieurs degrés. S’il le lui demande elle obéira sans discuter, sans un mot.
    
    Claude a deviné l’état d’excitation de Marie-Claude. Il a senti le corps de la jeune fille se contracter de plus en plus alors que ses lèvres devenaient de plus en plus molles, de plus en plus humides. Une forte odeur de transpiration se dégage de son corps, comme cela se passait avec sa cousine quand elle bandait dans ses bras. Il connaît les filles depuis ces expériences passées. Il sait qu’elle est prête à tout pour se faire baiser et jouir, jouir pour relâcher la tension qui a envahi son bas-ventre.
    
    Alors il se décide. Il enlève son bras qui entourait les épaules de Marie-Claude et, d’une voix autoritaire, mais douce à la fois il lui ordonne de se lever, d’aller fermer la porte du compartiment et de tirer les rideaux. Le contrôleur est déjà passé, il n’y a plus d’arrêt avant Lyon, il estime qu’ils ont plus d’une heure devant eux pour s’amuser un peu. Marie-Claude ne dit rien, elle ...
«1234...8»