Avant le mariage
Datte: 11/09/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
odeurs,
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
init,
prememois,
camping,
Auteur: Dreamerfree, Source: Revebebe
... odorante, l’excroissance en haut, toute érigée et n’eus qu’à pointer la langue au creux de son intimité pour qu’elle pousse un long feulement.
— Ça vient ! s’exclama-elle.
Un fleuve odorant coulait sur mon menton, elle maintenait fortement ma tête contre son intimité.
— Ça vient ! cria à nouveau Armelle.
Je tendis largement la langue, le nez en elle.
— Oh oui ! hurla Armelle en écrasant ma tête entre ses cuisses.
Quelques secondes passèrent, un temps infini. Épuisés, nous ruisselions de sueur. La tente sentait fort l’odeur du sexe féminin. Je ne m’aperçus qu’à ce moment-là que la pluie avait diminué d’intensité, sans doute depuis longtemps. Je relevai la tête et nos yeux se croisèrent. Puis elle regarda mon ventre.
— C’est si gros, dit-elle en désignant ma verge.
Elle posa sa main vers ma tige et commença à bouger ses doigts, les faisant glisser sur la peau soyeuse. Elle murmura :
— C’est doux.
Elle tournait autour puis serrait tout doucement sa main sur ma hampe. Elle me jetait des coups d’œil rapides, remarquant que mon ventre semblait vibrer. Puis elle prit ma queue à mi-longueur et commença à faire glisser sa main en penchant la tête. Je sentais en moi comme un feu et l’annonce de mon propre plaisir. Haletant, j’eus juste le temps de lui dire :
— Je vais jouir !
Elle se rapprocha. Un flot blanc jaillit et gicla sur ses cheveux, sur sa joue. Au premier jet, elle lâcha mon sexe. De longs jets de semence jaillissaient, encore et encore, ...
... des filets de sperme coulaient sur ses doigts. Je regardais son corps nu, son visage : ils étaient couverts de traînées blanchâtres qui s’écoulaient doucement : mon sperme, ma semence.
Je la sentais terriblement excitée. Épuisés, nous nous étions couchés et je lui caressais le visage. La voir ainsi, ses cheveux et sa joue couverts de mon sperme m’avait fait bander de nouveau.
Elle s’allongea sur son matelas. Je l’entendais gémir à nouveau, doucement, et j’imaginais sa vulve frémissante. Lentement, ma main reprit la caresse, s’attardant sur ses seins, descendant sur son ventre. Je longeais ses cuisses longues et fines jusqu’à ses genoux, remontais sur leur face intérieure, évitant au dernier moment la fente tant convoitée. Ses seins m’accueillirent de nouveau.
Je l’entendais gémir de plus en plus fortement, la vis ouvrir les jambes. Je regardais sa fente s’ouvrir et se refermer en même temps que sa mouille s’en échappait. J’avais devant moi cette jeune femme magnifique. Ma queue me faisait terriblement mal. Elle demanda :
— Combien de fois peux-tu éjaculer ?
Je bredouillai. Puis elle dit sans attendre la suite :
— Prends-moi vite, n’attendons pas.
Elle me fit coucher, s’assit sur mon ventre et ajouta :
— Surtout ne bouge pas, s’il te plaît.
Elle posa ses jambes sur mes cuisses, les écarta autour de mes hanches et présenta son ventre au-dessus de mon sexe luisant. Puis elle le prit à pleines mains, recula légèrement et offrit son entrée à ma verge. ...