1. Avant le mariage


    Datte: 11/09/2019, Catégories: fh, jeunes, odeurs, Masturbation facial, Oral pénétratio, init, prememois, camping, Auteur: Dreamerfree, Source: Revebebe

    — Jean-Mi, vas-tu au mariage ?
    — Oui, et toi ?
    
    Nous étions en milieu de semaine et celle qui m’appelait, c’était Armelle, une amie d’enfance avec qui j’avais beaucoup et bien joué autrefois. Elle habitait Bergerac et moi Agen.
    
    — Je ne manque le mariage des copains sous aucun prétexte ! Peux-tu passer me prendre en voiture ? Nous irons ensemble.
    
    La joie d’un voyage en compagnie de cette fille si sympa – pardon, jeune femme – fut tout de suite mêlée chez moi à une sorte d’étourdissement. Elle était grande et belle fille, les cheveux noirs et fins, mignonne comme un cœur… et drôlement bien foutue !
    
    — Je serai chez toi demain matin et nous dormirons en cours de route. Je prends ma tente.
    — Je préférerais un hôtel. Où comptes-tu t’arrêter ?
    — Vers Troyes. Nous pourrions être à Colmar pour le début de l’après-midi.
    
    Nous fîmes route le lendemain, mais il fut impossible de trouver un hôtel le soir. Le temps était chaud, mais on sentait venir l’orage. Je trouvai un camping presque complet et dressai la tente. Le terrain était bien agencé et chacun des emplacements était au moins à dix mètres des autres. Pendant que j’enfilai les mâts de piquet, je regardai Armelle du coin de l’œil, elle semblait gênée. Je tentai de la rassurer :
    
    — Nous avons bien dormi ensemble quand nous étions petits. Cela nous rappellera de bons souvenirs.
    
    Elle se mit à rire et désigna ses seins. Malicieusement, elle répondit :
    
    — J’ai changé.
    
    Puis, elle ajouta :
    
    — Il ne faut pas ...
    ... que ça nous empêche de rire.
    
    Et elle me jeta son verre d’eau à la figure. Éberlué, dégoulinant, je me précipitai vers elle et l’empoignai comme autrefois, entamant l’une de ces brèves joutes entre garçon et fille dont nous étions coutumiers. Mais le petit garçon était devenu jeune homme, la petite fille était à présent une jeune femme. Ce que je touchais de façon fugace tandis que nous roulions sur l’herbe en luttant, c’était bel et bien de troublantes rondeurs.
    
    Après un dîner frugal, Armelle partit se laver au bâtiment toilette, une grande serviette à la main. Je faisais quelque va-et-vient entre la voiture et la tente lorsqu’un cri se fit entendre, non loin de moi, provenant de la tente voisine. Une sorte de feulement sauvage, suivi d’exclamations étouffées plus aiguës. Quelques secondes plus tard, j’entendis une succession de halètements rythmés, comme ceux d’un coureur de fond en plein effort. Ou d’une coureuse, pensai-je. Cela ressemblait tellement au bruit de l’amour qu’il n’y avait pas d’hésitation.
    
    Je jetai un œil aux quelques campeurs autour de nous. Certains faisaient semblant de ne rien entendre, d’autres regardaient la tente d’où venaient les bruits qui allaient en s’amplifiant. C’était manifestement une femme en train de se faire baiser et qui hurlait son plaisir sauvage. Quel concert ! Je n’avais jamais entendu une femme jouir ainsi, un mélange d’appels, d’exclamations, de rugissements, de soupirs, de plaintes presque aussi fortes que des pleurs, le tout ...
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