Rendez-vous gâché ?
Datte: 17/01/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
extracon,
extraoffre,
inconnu,
douche,
Oral
pénétratio,
Auteur: Calin 13, Source: Revebebe
... l’œil…
Je le regarde surprise de sa dernière phrase. L’idée est incongrue et pourtant elle me trouble. Un spectateur à nos ébats… Ma foi, lorsque je fais mes séances photo avec Roger, c’est un peu ce qui arrive… et en plus c’est lui qui dirige la "mise en scène"…
Pour le principe, Bernard me fait visiter le reste de la maison, profitant de chaque pièce pour me voler un baiser ardent. Je ne résiste pas vraiment.
Enfin nous revenons dans le salon après être passés par la cuisine pour ramener des boissons fraîches.
Après avoir déposé un verre sur la table de Marc, Bernard s’installe dans le canapé et m’attire près de lui. Il me couvre de son regard tendre et pénétrant, s’approche doucement et pose ses lèvres sur les miennes. Le contact est doux et chaud, sa langue doucement force mes lèvres à la rencontre de ma langue. J’adore ce premier long baiser. Je ferme les yeux et savoure ce moment.
Il passe son bras autour de mon épaule et de sa main libre, doucement me caresse la joue, descend le long du cou, remonte vers mes tempes. Je me laisse aller, aucune idée de résistance ne m’effleure l’esprit. Je suis bien dans ses bras, je suis à l’écoute de chaque geste, devinant sa prochaine initiative…
Pendant que sa main vient à la rencontre de mon décolleté, sa bouche glisse le long de mon cou. Je suis sensible aux baisers le long de la jugulaire, des frissons me parcourent le dos. Délicatement Bernard fait sauter un puis deux boutons de mon chemisier, écarte un peu ...
... les pans et découvre un peu de dentelle et mes rondeurs pleines de promesses.
Du coin de l’œil, je ne peux m’empêcher de surveiller Marc plongé dans son dossier, pourtant il me semble avoir un peu le feu aux joues… Peut-être l’effet du rosé de ce midi !
Les doigts de Bernard sont impatients, ils glissent sur ma poitrine, évaluant son volume, puis s’insinuent entre la peau et la dentelle à la recherche du téton qui déjà est tout raide. Mais le corsage n’est pas assez ouvert, aussi c’est moi qui défais les derniers boutons et dégage le tissu.
Bernard plonge littéralement sur mes seins, malmène leur peau délicate, saisit entre ses lèvres mes bouts roses et leur fait subir mille délices avec sa langue. J’aime être ainsi l’objet d’élans amoureux et sensuels. Je me sens maîtresse femme, désirée et désirable, prête à m’offrir et à me laisser emporter dans le feu de la passion charnelle.
Je devine contre moi dans son pantalon une raideur qui m’a déjà apporté beaucoup d’émotions et de sensations. J’approche ma main et j’ai confirmation de son "émotion" extrême. Dans sa fougue, il manifeste un peu bruyamment son plaisir et son excitation et ça ne peut être ignoré par Marc dans son coin. Mais au diable le gêneur, si ça ne lui va pas, il peut aller travailler ailleurs…
Je prends la tête de Bernard entre mes mains car je veux sa bouche. Je veux sa langue qui joue avec la mienne, qui me possède fougueusement. Il ne se fait pas prier, si sa bouche est active, ses mains le sont ...