1. Je ne sais toujours pas son nom


    Datte: 06/09/2019, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, pénétratio, init, initfh, occasion, Auteur: Yappy, Source: Revebebe

    ... diplôme, elle rentrera au pays, pour y travailler.
    
    Nous arrivons au terme de notre balade et elle sort un trousseau de clé de son sac, s’arrête à hauteur d’une porte d’immeuble, ouvre la porte et se dirige calmement vers l’escalier. Il n’y a pas d’ascenseur, et une fois de plus, je profite entièrement de ses mouvements. Je sais que j’aurais dû passer devant, pour ne pas la gêner, mais j’ai fait comme si de rien n’était, d’autant plus que je ne savais pas à quel étage nous allions.
    
    J’aurais peut-être mieux fait de faire plus de sport, ou plus régulièrement. Arrivé au cinquième, je suis essoufflé et je profite du temps nécessaire à l’ouverture de la porte (trois serrures différentes) pour reprendre mes esprits. Nous entrons dans son antre : c’est petit et cosy. Un petit hall, la cuisine à droite, qui donne sur la rue, avec un salon/salle à manger à côté. À gauche de la porte, un WC, une petite salle de bain et à côté de la salle de bain, une porte fermée, mais je devine que c’est sa chambre.
    
    Elle m’invite à entrer dans le salon, dans lequel se trouve peu de meubles. Un divan, une petite table, une télévision sur un petit meuble avec, dans celui-ci, un lecteur de DVD. Dans le coin, un petit bureau ou trône un ordinateur portable bon marché (genre ceux que l’on peut acheter chez Mediamarkt).
    
    Sur la droite se trouve une petite table avec quatre chaises, et un meuble avec des portes en verre, dans lequel se trouve la vaisselle. Dans un autre coin se trouve une petite ...
    ... bibliothèque, avec un certain nombre de livres, tous en français.
    
    Elle me propose quelque chose à boire. J’ai envie de lui dire que la seule chose qui m’intéresse, maintenant, c’est elle, elle et elle, mais je me retiens. Je pense que de toute façon, elle sent très bien la tension qui me domine, et n’est pas dupe de mes envies les plus secrètes. De toute façon, elle m’a invité chez elle, elle doit bien se douter de ce qui va arriver.
    
    Je lui demande un verre d’eau, plate ou pétillante. Elle se sert un coca, m’apporte mon verre d’eau et nous buvons ensemble, en se regardant dans les yeux. Je ne sais toujours pas son nom et je m’en fous. J’ai peine à croire à mon bonheur, dans quelques instants, je prendrai sa main, caresserai sa joue, et plongerai dans un océan de bonheur.
    
    Et là, elle se met à parler :
    
    — Nous ne nous connaissons pas et tantôt, quand tu partiras, nous ne nous connaitrons toujours pas. Tu ne seras venu qu’une seule fois chez moi et après, nous ne nous reverrons jamais. Cet après-midi, tu peux faire de moi ce que tu veux, je serai femme, maitresse, amante, soumise ou esclave si tu le veux et rien ne te sera interdit. Profite donc à fond de moi, jouis de moi sans limite et sans détour.
    
    Je suis estomaqué. Ses mots pénètrent en moi et leur signification envahit lentement mes synapses. Je sais que je devrais être au boulot, mais bon, la vie est ce qu’elle est, et tant pis pour le reste.
    
    Je la prends doucement dans mes bras. Avec l’index de ma main ...
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