Je ne sais toujours pas son nom
Datte: 06/09/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
pénétratio,
init,
initfh,
occasion,
Auteur: Yappy, Source: Revebebe
Je me baladais dans un quartier de Molenbeek, une commune de Bruxelles dont la population est excessivement cosmopolite. C’était la pause de midi, et je suis rentré dans un snack-friterie Turc, pour y manger un doner. Après avoir commandé, je rentre dans la première salle ou sont disposées cinq tables et une dizaine de chaises.
Une jeune femme est assise à la table dans le coin droit de la salle à moitié remplie. Elle est superbe ; 1m60, fine, une poitrine ni trop grosse ni trop petite cachée par un gros pull en laine (on est en plein hiver), un visage d’ange entouré d’une coiffure ondulée noire, de grands yeux, des lèvres légèrement rouges et ourlées et de longues boucles d’oreilles qui dégringolent jusqu’aux épaules, qu’elle tient bien droites. À mon avis, elle n’est pas encore trentenaire, mais c’est pour bientôt, et pourtant, elle en paraît à peine vingt-deux, tellement le grain de sa peau et la douceur de ses mains semblent jeunes. C’est donc plus sa retenue, ses habits et son maintien qui me font penser qu’elle est plus âgée qu’elle ne paraît.
Elle est en train de manger un Durum, et je vois cette bouche s’ouvrir bien grand, puis se refermer avec force, pour permettre à ses dents d’arracher une partie du pain et de la viande. C’est un plaisir à voir, d’autant plus que mon esprit vagabonde déjà un peu, et imagine ce qu’une si belle bouche peut faire de bien plus sensuel.
Je dois choisir où m’asseoir, je sais déjà que j’ai envie d’être près d’elle, mais je ne ...
... veux pas la gêner par mon intérêt réel. Si je m’assieds à une table en face d’elle, je ne serais plus capable d’écarter mon regard de son visage, et elle risque de se trouver mal à l’aise (avec raison d’ailleurs). Je choisis donc de me mettre à sa droite, dos au mur, comme elle. Je prends mon livre et attends que ma commande arrive. Je ne peux plus vraiment voir son visage sans me montrer trop indiscret, par contre, je vois ses mains, fines et douces, je vois sa jambe droite qui sort de sa jupe, son mollet galbé par ses chaussures à talons et j’imagine ma main qui remonte le long de sa cuisse, ses jambes qui s’écartent doucement pour laisser apparaitre la lisière de ses bas autoportants.
Le patron me surprend et suspend mon rêve en m’apportant un doner bien garni, avec une portion de frites sauce samouraï (pour ceux qui ne connaissent pas, c’est une sauce très très piquante) et un Fanta.
Elle me dit « bon appétit », je réponds par la même phrase de politesse qui peut avoir l’avantage de briser la glace, mais je n’ose pas insister plus… Je mange à mon aise, espérant secrètement arriver au bout de ma pitance en même temps qu’elle. J’espère ainsi me retrouver en rue avec elle, et qui sait, si j’ai le courage de l’aborder, pourquoi pas…
Avant de continuer, et pour vous permettre de comprendre le tableau, parlons un peu de moi. Je suis un homme dans la fin de la quarantaine, petit, bedonnant avec des cheveux châtain clair, des yeux bleu-gris et un grand sourire au milieu du ...