J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (8)
Datte: 06/09/2019,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... fonctionnaire, en voyant l’édile si à l’aise, ressortit sa belle bite. C’est du moins ce que je conclus de leur discours car je ne les voyais pas. Le maire vantait les proportions de son administré en soulignant qu’il n’était pas surpris de la flatteuse réputation que l’organe postal avait acquis dans le village. Le fonctionnaire, quant à lui, ne tarissait pas d’éloges sur les grelots poilus du premier magistrat de la commune, grelots dont la rondeur et la grosseur auraient pu faire illusion au salon de l’agriculture parmi les reproducteurs bovins.
Pendant ce temps, le chien allait et venait et le bout de mes seins, perpétuellement excité par son poitrail qui les caressait et les frottait de son poil ras et dur, chauffait comme l’extrémité d’un fer à souder. Je ne pouvais pas me libérer de cette étreinte qui, en définitive, se montrait pénible et fastidieuse jusqu’au moment où le chien éjacula.
À ce moment, la bite me parut gonfler démesurément, les mouvements s’accélérèrent et un intense plaisir me submergea. La fatigue et la chaleur disparurent d’un coup, je libérai la bite de mon mari de mes lèvres goulues et je serrai le chien de toutes mes forces en hurlant de plaisir, attendant les flots se semence qui ne manquèrent pas de fuser longuement et puissamment. Autant s’accoupler avec un karsher !
Les hommes assistèrent ainsi à l’orgasme et au lâcher de sperme qui s’en suivit. Puis le toutou se débloqua assez vite, sortit sa trique dégoulinante du trou. Je fus ...
... aussitôt emmenée à l’intérieur, soulevée, kidnappée plutôt, et portée dans ma chambre.
Sans avoir attendu que je me lave un peu, les mecs étant las d’avoir espéré si longtemps le bon vouloir de mon vigoureux amant animal, assistèrent mon mari qui me jeta violemment sur le lit. Et comme si j’avais été une femme que long prend après avoir fait le siège d’une ville pendant de longues semaines ils se ruèrent sur moi comme si j’avais été une prise de guerre.
Plantant à nouveau son zob dans ma bouche, mon promis ordonna :
— Ah vous Bertrand !
Il ne se fit pas prier et grimpa sur le plumard. Ma chatte dégoulinait encore, mais cela ne le rebuta pas. Il enfonça son braquemart immédiatement. C’était bon.
L’autre mec se coucha sur le côté pour me caresser les seins et mettre son sexe tout dur à portée de ma main.
Puis après m’avoir besognée quelques minutes en silence, on me demanda :
— Alors ma chérie, raconte-nous ! Tu n’étais pas impatiente de nous voir ?
— Oh que si ! J’ai mouillé tout le long du chemin, heureusement que j’ai trouvé de quoi me satisfaire !
— Vraiment, raconte !
— Vous ne me croirez jamais !
— Vas-y !
— Eh bien....Ouh ! Doucement facteur... Vous y allez fort ! On la sent bien au fond votre queue là... calmez-vous... C’est une impasse... elle n’ira pas plus loin...
— Que... Madame... m’excuse... mais sa chatte... est trop bonne et...et ça glisse tout seul...
— Eh bien donc, j’ai rencontré et baisé un entrepreneur charpentier et ses ...