1. J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (8)


    Datte: 06/09/2019, Catégories: Zoophilie, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Mais les choses tournent rarement comme on le prévoit.
    
    J’entrai dans la cour du château. J’étais à peine descendue de voiture qu’Adalbert déboula à toute vitesse et me sauta dessus. Il m’accueillait avec une joie visible. Ses lourdes pattes, qu’il posa sur mes épaules me forcèrent à reculer. Je m’appuyai contre le capot de la voiture et, finalement m’y étendis permettant au chien de se coucher sur moi, tant pis pour la peinture de la carrosserie sur laquelle grincèrent les griffes de la bête.
    
    Le moteur était brûlant et la bite du chien aussi que je sentis palpiter contre mes cuisses. Je n’eus qu’à les écarter et l’animal s’enfonça sans hésiter, en trouvant sa cible du premier coup.
    
    Ah la vache que c’était bon ! Mais il glissait sur le capot et je devais me cramponner à lui pour le maintenir. J’étais complètement collée à son poitrail, pleine de sueur. Une deuxième bite canine dans la journée... queues du bonheur !
    
    Les mouvements du chien étaient rapides et il me mettait la boîte à bonheur en feu. Je jouis une première fois très rapidement, bien longtemps avant lui, de sorte qu’une fois l’orgasme passé, j’eus le temps de réfléchir. Il n’y avait personne. Stefan n’était pas venu à ma rencontre. J’étais passée devant la conciergerie du château où je n’avais pas perçu âme qui vive. Mais il était déjà tard et nos vieux gardiens étaient sans doute déjà au repos.
    
    Même si l’orgasme était passé, le chien continuait à me faire du bien et je me caressais les nichons, en ...
    ... passant mes mains entre mon corps et le sien, pendant qu’il me pinait tout en le rattrapant quand il dérapait trop.
    
    J’étais déjà remplie de son jus, d’un pré-sperme abondant, et bien partie pour un deuxième orgasme quand j’entendis un bruit de voiture. Les pneus crissaient sur le gravier de l’allée. Je ne pouvais pas bouger. Il ne me restait plus qu’à souhaiter que ce fût mon futur époux sans quoi la situation risquait d’être gênante. Mais à cette heure tardive, qui pouvait-ce être d’autre ?
    
    Et pourtant, quand la voiture fut à ma hauteur, sa couleur jaune et son gabarit me la désignèrent comme celle de l’employé des postes. Je me demandai bien ce qu’il pouvait faire à cette heure où l’honorable corporation de ces zélés fonctionnaires a, d’habitude, regagné son logis.
    
    Il m’était absolument impossible de me dégager. Le chien n’était pas au bout de ses peines et tapait de toute sa masse au fond de mon vagin.
    
    Le conducteur avait contourné ma voiture par la droite et s’était garé devant les degrés du château, de sorte que, comme j’étais allongée sur le côté gauche du capot, il ne m’avait peut-être pas vue. Mais, en sortant de son véhicule, la masse imposante du chien ne put lui échapper.
    
    Je le vis rester debout, l’air des plus perplexes.
    
    Je fis donc ce que j’avais fait avec mon presque mari la première fois, quand il m’avait surprise en train de sucer son poney, je pris l’air le plus naturel du monde et lui fit signe de la main pour qu’il approche.
    
    Comme il ne ...
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