J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (8)
Datte: 06/09/2019,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... question ?
— Vas-y !
— Le chien... c’est bon ? C’est pas la première fois que je le vois faire et...
— Tu l’as déjà vu ?
— Oui, sur ma tournée... on voit de tout, untel qui saute ses biques.... unetelle, femme mariée, plus âgée que Madame... avec son berger belge... je l’ai vue par la fenêtre... mais j’ai rien dit.
— Faudra que tu me la présentes !
— Oh, non, son mari vous tuerait s’il savait. C’est un violent le Grégoire, surtout quand il a bu !
Nous étions là depuis cinq à six minutes, moi toujours pompant, le chien toujours poussant quand le facteur se retira précipitamment et remonta son futal.
— Quelle mouche vous pique ?
— Voilà la voiture de Monsieur le Comte ! Il n’est pas seul. Pourvu qu’il n’ait rien vu... Mon dieu, qu’est-ce que je vais bien pouvoir raconter !
— Tu racontes rien ! Tu remets ta queue où elle était et quand le chien aura fini, y’en aura pour tout le monde ! Qui est avec lui ?
La voiture arrivait.
— C’est le maire.
— Tant mieux, plus on est de fou !
Mais malgré mes encouragements, le facteur s’était écarté... pas convaincu sans doute par mes promesses et redoutant l’ire d’un fiancé jaloux.
— Eh bien dites-donc monsieur le maire, voyez qui est arrivé ! dit mon mari en descendant.
— Bonjour Madame la Comtesse. Je vois que vous étiez attendue...et accompagnée..
— En effet. J’espère que vous restez un peu avec nous.
— Avec la permission de monsieur le comte... Je bande déjà.
— Bandez, bandez, ne ...
... vous gênez pas !
— Mais et notre facteur ? dit mon mari.
— J’étais en train de le sucer justement, mais vous lui avez fait peur.
— Tant pis pour lui, je prends sa place...il y a tellement longtemps !
Et c’est ainsi que je pris la bite de mon futur époux dans la bouche. Elle était chaude et sentait l’homme.
— Ah putain, c’est trop bon ! Qu’elle est bonne ta bouche, hmmm, comme tu pompes bien ! Aaaah.... Comment ai-je pu réussir à me passer de toi si longtemps.... tiens, bouffe mes grosses couilles salope... t’attends que ça ! Pousse-toi le chien !
Mais le chien n’était pas disposé à céder le moindre pouce de terrain. Le coït durait, durait et durait encore. Le chien était increvable, manifestement chargé de libido qu’il n’avait pas pu satisfaire pendant mon absence et à laquelle il se concentrait pour lors tout entier. Ses mouvements de reins avaient la régularité de la trotteuse d’une montre et martelaient ma chatte dans un tic-tac jouissif, un égrenage des minutes rapide, mais de plus en plus douloureux.
Mon corps s’ankylosait. Mes jambes devenaient lourdes et mon cou, à force d’être tourné vers la gauche pour sucer le jonc de mon mari, commençait à me faire mal.
Ma sueur dégoulinait sur le capot de la bagnole que mon corps déformait et je me demandai s’il reprendrait sa forme, comme mon propre capot, déformé par la bite du chien qui l’emplissait, le défonçait et l’élargissait outre mesure.
Le maire commença à se masturber en nous regardant et le ...