1. Crusader Kings : l'épopée lyonnaise (2)


    Datte: 06/09/2019, Catégories: Divers, Auteur: Nkari, Source: Xstory

    ... m’appelle à l’aide l’année suivante ; il subit une importante révolte sur ses terres. J’honore mon alliance et envoie mes troupes. C’est mon fils Bérard qui les dirigera. Pendant ce temps, moi je reste bien à l’abri... euh, je veux dire je reste administrer mes terres, et surtout tenir compagnie à sa charmante épouse. Il ne me faut pas longtemps pour la mettre dans mon lit. Hum, la gourgandine, à peine dix-neuf ans, se montre aussi perverse que mon épouse. Dieu, comme j’aime qu’elle me masturbe entre ses deux gros seins… N’empêche, dans l’adultère, je préfère être de ce côté de la barrière.
    
    En Croatie, mon fils a la sagesse d’abandonner notre allié afin de ne pas tomber dans un piège des rebelles. C’est bien : il a retenu mes leçons. Il ramène mes troupes à Lyon, et a la joie de découvrir Navar, sa première fille – enfin, celle qu’il croit être sa fille.
    
    En 1114, après avoir remis le couvert avec Elbira, naît Clamenç, un fils, et mon cocu de fils ne se doute toujours de rien. Oh, le con ! J’ai été plus malin que lui, moi : j’ai vu clair dans la perfidie d’Agnès !
    
    Les années suivent leur cours et je n’ai toujours aucuncasus belli. Moi qui rêvais de grandes conquêtes, me voici bien frustré. Tant pis, je me console en me tapant Elbira. En attendant, ayant réuni un joli pactole grâce aux impôts, je développe mon comté de Lyon.
    
    J’apprends qu’on me surnomme maintenant « l’ancien ». Quoi ? Mais pour qui ils se prennent, ces pourceaux ? Qu’on me pende tout ceux qui ...
    ... osent m’accoler ce surnom ridicule !
    
    En 1117, c’est à mon allié, le duc de Transjuranie, de m’appeler à l’aide contre ses rebelles. J’envoie une nouvelle fois mon fils pendant que je m’occupe de divertir sa femme. Mon fiston doit battre en retraite après s’être fait défoncer par l’armée de Franche-Comté en guerre contre le Kaiser. À son retour, il découvre que sa femme vient d’avoir une nouvelle fille, Peironèla, qu’il prend encore pour la sienne. Quel naïf !
    
    Quand même, voilà que mes troupes, qui ont remporté la victoire contre la France, se font humilier par deux fois dans mes deux dernières guerres ; quelle honte ! Et par de pauvres rebelles, en plus. La prochaine fois, je le jure devant Dieu, ça ne se passera pas de la même manière !
    
    C’est en 1120 que vient une nouvelle occasion de s’illustrer sur le champ de bataille : la Transjuranie, qui vient juste de vaincre ses rebelles, se fait attaquer par le duché de Hollande. Je réponds présent et mes étendards, fièrement levés, partent à l’assaut de l’ennemi. On se fait malheureusement défoncer par ces chiens galeux de Hollandais. Mes troupes rentrent au pays la queue entre les jambes. Pire que ça, mon frère s’est même fait capturer par l’ennemi.
    
    La seule bonne nouvelle cette année est la mort de cette putain d’Agnès. Mon fils Bérard hérite donc le duché de Savoie, et son frère, Nathan, celui de Suse. Quant à moi, maintenant que j’ai la satisfaction de savoir qu’Agnès a rejoint les flammes de l’enfer, plus rien ne me ...