1. Jeunesse infernale (1)


    Datte: 06/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... fois que je faisais l’amour je ne pouvais m’empêcher d’être gênée par l’idée de mon odeur.
    
    A cela s’ajoutait un désir sur lequel je n’avais pas encore mis de nom et encore moins mis en pratique, celui d’une fermeté, d’une obéissance, celui de me faire maltraiter, sexuellement parlant bien sur.
    
    Cette idée me taraudait au point d’en devenir obsédante ; je me lançais alors dans la lecture d’œuvres dites déviantes et dévorais « histoire d’O » comme « Justine » et « Juliette » pour ne citer qu’elles ; ces pages me transportaient ! Chaque soir je terminais mes lectures la chatte très humide et tandis que je me caressais, défilaient dans ma tête les divins sévices que je subissais à l’instar des héroïnes de ces romans.
    
    Naturellement, l’étape suivante fut de m’infliger des punitions avec ce que recélait mon appartement d’étudiante : pinces à linge que je posais sur ma chatte et mes tétons, brosse pour la masturbation, gant de crin,... Je les utilisais lors de mes « séances » nocturnes et solitaires en imaginant qu’un jour je me trouverais entre les mains d’une femme ou d’un homme qui me les ferait subir.
    
    Chaque fois j’éprouvais un plaisir décuplé, bien éloigné des orgasmes que me procuraient mes amants de l’époque.
    
    Je n’ai pas été élevée avec des principes moraux très rigoureux même si je savais faire la part entre le Bien et le Mal ; mais pour beaucoup d’entre nous, moi la première, la mauvaise conscience restait bien présente et je rejetais sans convictions mais avec ...
    ... opiniâtreté mes pulsions.
    
    J’avais 30 ans, un métier que j’aimais... et je ne m’étais jamais fait « bouffer la chatte » comme on dit sur les forums.
    
    Je me mariais classiquement peu de temps après en imaginant que l’intimité de la vie à deux me permettrait d’assouvir ces nombreux fantasmes qui me hantaient.
    
    J’avais un mari doux et assez tendre dont la sexualité qu’il affichait avec moi était certes agréable mais plutôt dénuée d’imagination et de fantaisie.
    
    Très vite je tentai de l’amener sur le terrain de mes fantasmes par touches peut-être un peu trop « impressionnistes » car jamais je n’ai eu d’écho !
    
    Toujours complexée par les stigmates de ma rousseur, il arriva quand même un moment ou je devais, ou il fallait que mon homme accepte ma chatte comme elle était : poil roux, parfum musqué et tenace qui va avec !
    
    Un soir ou je le suçais assez goulûment, emportée par mon excitation le m’accroupis au-dessus de son visage en attendant, fébrile, que sa bouche se pose, que sa langue s’agite à l’intérieur de ma chatte et s’enroule sur mon clito ; une brève léchouille vint briser mes envies et renforcer ces vieux complexes. Je me sentais maudite !
    
    Cet épisode me troubla voire plus. J’avais cependant de la fierté parfois même de l’orgueil, je décidais de prendre ma vie sexuelle en mains et de commencer par me réconcilier avec moi-même et ma rousseur. Combien d’interviews et de films de Nicole Kidman et Julian Moore ai-je lu et vu pour m’imprégner de ces rousses sure ...
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