1. La cité perdue


    Datte: 12/03/2018, Catégories: fh, fffh, Masturbation entreseins, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, zoo, attache, historique, aventure, fantastiqu, Auteur: André 59, Source: Revebebe

    ... honneur, elle aurait donné tout l’or du monde pour un peu de savon et de shampoing. Elle dut se contenter d’une bonne douche improvisée sous une cascade, ses gardiens l’observant avec intérêt depuis les berges.
    
    Ils se remirent en marche. Elle était libre de ses mouvements mais son corps nu était une proie tentante pour les insectes de la forêt ; elle commençait à être couverte de piqûres. Pour la protéger, un de ses gardiens posa sur ses épaules une fourrure de bête fraîchement écorchée, visiblement un félin. Un autre enduisit sa peau d’un mélange de boue et d’argile. Ils lui confectionnèrent des sandales improvisées en peau, de même que deux pièces de cuir retenues à la taille par une cordelette de liane tressée pour masquer et protéger son intimité. Pas vraiment sexy, mais efficace. Elle prenait de plus en plus l’allure d’une héroïne sortie droit de l’âge de pierre. En se lançant dans ce projet, elle avait rêvé de faire un bond dans le temps ; on pouvait dire qu’elle était servie !
    
    La marche lui semblait interminable. Ils s’enfonçaient de plus en plus loin dans le territoire, gravissant des hauteurs plongées dans une brume perpétuelle. On lui assurait chaque nuit un coin sûr pour dormir et elle avait largement de quoi se sustenter. Ces curieux guerriers lui apportaient tous les matins et tous les soirs le fruit de leur chasse et de leur cueillette. Ils ne touchaient à la nourriture qu’après l’avoir vue rassasiée. Ils pourvoyaient à tous ses besoins et la traitaient ...
    ... avec la plus grande déférence. En retour, à chaque halte, Kate se faisait un devoir de satisfaire la soif de sexe de la petite troupe. On aurait pu dire de « sa » petite troupe tant ils semblaient la servir plutôt que la garder.
    
    Aucun d’entre eux n’avait encore osé la pénétrer. Après leur avoir fait goûter la douceur de ses lèvres, elle décida de leur prodiguer la chaleur de ses cuisses. Un soir, elle fit signe à l’un d’entre eux d’approcher. Après l’avoir longuement caressé, elle l’amena à s’étendre et le chevaucha jusqu’à ce qu’il fasse gicler sa semence, puis elle se releva et les défia du regard un à un. D’un air naturel, elle alla d’elle-même s’offrir à quatre pattes, croupe offerte et reins creusés, sa tête et ses épaules posées sur l’herbe grasse. Râlant de plaisir, elle fut ainsi enfilée en même temps par deux mâles vigoureux qui lui firent connaître la première double pénétration de sa vie et l’orgasme le plus extraordinaire qu’elle ait jamais ressenti. Ils devinrent ses gardes du corps, ne la quittant jamais des yeux. La protégeaient-ils ou la surveillaient-ils ? Les deux sans doute, mais leur dévouement était total et ils risquèrent plus d’une fois leur vie pour assurer sa sécurité dans des passages dangereux.
    
    Dans cette brume perpétuelle, elle perdait la notion du temps. Depuis combien de jours erraient-ils ainsi ? Impossible à dire. Ils sortirent enfin du brouillard qui enveloppait les hauteurs, et à la sortie d’un défilé le groupe déboucha soudain sur une ...
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