1. La cité perdue


    Datte: 12/03/2018, Catégories: fh, fffh, Masturbation entreseins, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, zoo, attache, historique, aventure, fantastiqu, Auteur: André 59, Source: Revebebe

    ... puis, passant derrière elle, libéra ses chevilles et la releva. Face à elle, il se tenait, sans bouger, la fixant avec des yeux implorants, arborant une érection toujours aussi triomphante. Kate, complètement décontenancée, ne trouva qu’une chose à faire : tendre une main vers ce membre dressé et le caresser. Le garçon émit alors une sorte de mélopée entêtante, les yeux clos tandis que certains de ses congénères entamaient une masturbation frénétique, poussant une sorte de cri de guerre scandé à cadence régulière. L’espace d’un éclair, elle cru entendre « Ishtar, Ishtar, Ishtar ! ». Le nom de la déesse de l’amour et du sexe en Mésopotamie, ici ? Difficile de pousser la réflexion plus loin. Le vacarme fut complété par le reste de la petite troupe qui se joignit à la scène par le battement rythmé de ses sagaies contre les boucliers. « Faites l’amour, pas la guerre. » ; là, on était plutôt dans le trip inverse « Faites l’amour et la guerre. »
    
    Se rapprochant encore de son admirateur, l’archéologue décida de s’accroupir face à lui. Était-il possible qu’il fût puceau ? Cela aurait expliqué son air à la fois effarouché et bravache. Elle savait ce qu’il fallait faire ; autant prendre les devants, d’autant que cette situation étrange, presque incongrue, commençait à l’exciter. Elle devait reconnaître en son for intérieur que le trouble qu’elle suscitait ne la laissait pas insensible. Écartant les lèvres et penchant son beau visage, elle avala aux deux tiers la queue dressée alors ...
    ... que ses mains enserraient le postérieur musclé du mâle en rut. Au bout de quelques va-et-vient dans sa bouche, il se mit à geindre et ne tarda pas à émettre un jet de semence épaisse qui éclaboussa le visage de la jeune femme et dégoulina sur sa lourde poitrine. Un autre garçon fut alors projeté vers elle d’une bourrade par un de ses compagnons ; elle le prit aussitôt entre ses lèvres. Celui-ci tint plus longtemps, jusqu’à ce qu’il se vide au fond de sa gorge, les mains agrippées à ses seins.
    
    Les autres protagonistes, toujours vêtus de leurs peaux de bêtes, se pressèrent alors autour d’elle. Kate se savait où donner de la tête et des mains, engloutissant, suçant, léchant, branlant à tour de rôle des queues de toutes dimensions, épaisses ou effilées, fines ou longues. Ayant l’impression de perdre la raison, elle se demandait si elle ne vivait pas un mauvais rêve, actrice transposée par un drôle de hasard dans une version hard de « Un million d’années avant J.C. ». Tous jouirent bruyamment à tour de rôle, dans sa bouche, sur ses seins, ses épaules, maculant ses cheveux et son dos, puis tout se termina aussi vite que cela avait commencé.
    
    Debout, nue, couverte de sperme de la tête aux pieds, elle se vit entourée d’un cercle de mâles prosternés, face contre terre, déposant leurs armes à ses pieds. Elle s’était vue prisonnière, et voilà qu’elle était traitée comme une grande prêtresse du sexe, une reine de la fellation, une déesse du grand rut universel. Peu soucieuse de cet ...
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