Un fantasme assouvi - Histoires de Sexe

Un fantasme assouvi

... rougis. J’aimerais la porter plus souvent, oui. Je ne peux bouger que les jambes et les pieds. Le reste de mon corps est bien ficelé, impossible de faire le moindre mouvement avec mes bras. Je me demande où il a appris à attacher quelqu’un comme ça.

Mais il ne me laisse pas le temps de réfléchir. Il tire la laisse pour que je le suive. J’adore la sensation de la laisse qui tire le collier qui tire mon cou. Mais je ne peux pas le laisser me traîner non plus. Je le suis docilement jusqu’à la chambre.

Il m’amène jusqu’au bord du lit et me pousse dessus. Je bascule sur le dos. Il me place au milieu du lit, attache ma laisse sur les barreaux du lit, puis il me force à écarter les jambes, et il les attaches aux barreaux du bas.

Ça y est, je suis nue et complètement immobilisée, les jambes écartées, le sexe à l’air devant un homme. Mon fantasme est devenu réalité. Il prend encore des photos, puis il se déshabille. Il va me faire l’amour, enfin non : il va me baiser.

Il monte sur le lit, se place au-dessus de moi, il amène son sexe devant le mien et, sans avertissement, il me pénètre. Je ne peux m’empêcher de laisser sortir un gémissement de plaisir.

Il ...

... empoigne un de mes seins qui ressort grâce aux liens, et le malaxe sans trop de retenue tandis qu’il commence à faire des va-et-vient avec son bassin.

Il ne me ménage pas, et c’est ce qui m’excite le plus. Je perds toute inhibition, et je commence à gémir assez bruyamment. Je jouis une première fois. Il s’en aperçoit et il continue de plus belle.

— T’as l’air d’aimer ça, salope !
— O… Oui Maître… ! J’adore !

Il continue, satisfait de lui, et je jouis une nouvelle fois.

Je sens qu’il arrive à sa limite, déjà. Il se contracte, voulant se retenir un maximum, mais quelques secondes après je sens son sperme chaud se déverser en moi.

Il reste comme ça quelques secondes. Puis il se retire, et place son sexe devant ma bouche.

— Nettoie !

J’ouvre la bouche, et il avance son sexe, que je lèche une nouvelle fois avec plaisir.

Puis il se retire, se relève et prend de nouvelles photos.

— Tu es magnifique comme ça, ma chienne.

Il me laisse pendant qu’il va se laver. J’en veux plus, je suis déçue que ça se finisse si vite. Mais je me console en me disant que ce n’était qu’une première soirée. L’avenir m’en réservera beaucoup d’autres, j’en suis sûre.