1. Un fantasme assouvi


    Datte: 05/09/2019, Catégories: fsoumise, hdomine, Oral sm, attache, BDSM / Fétichisme Auteur: Anz', Source: Revebebe

    ... le garage. Aussitôt, je me relève et je me déshabille en vitesse, il risque de ne pas tarder, et je dois tout finir avant qu’il revienne. Je suis nue, et je commence à ranger mes affaires que déjà, la porte s’ouvre, et il revient, avec un carton dans les bras. Il me regarde. Je continue de ranger mes affaires en tremblant.
    
    — T’es même pas capable de te foutre à poil et de ranger tes fringues ?
    
    Il parle volontaire vulgairement, et ça m’excite encore plus.
    
    — Pardon Maître… Mais je n’ai pas eu le temps de…
    — La ferme !
    
    Même s’il n’a pas crié, je me tais aussitôt. Il soupire.
    
    — Mets-toi dans ta position de soumise.
    
    Il me montre l’endroit où je me suis mise à genoux il y a quelques instants. Sans finir de plier mes affaires, je me remets à genoux, dans la position où j’étais. Il pose le carton sur la table.
    
    — Qu’est-ce que je vais faire de toi ?
    
    Il soupire encore.
    
    — Où est ton portable ?
    — Dans la poche de mon pantalon, Maître.
    
    Je l’entends fouiller mon pantalon. Puis il s’assied sur le canapé et il reste comme ça quelques minutes. Il doit sûrement regarder mon téléphone. Le savoir fouiller dans mes affaires comme ça, m’excite vraiment énormément. Il se relève, et me tourne autour. J’entends des « Clics »… C’est l’appareil photo de mon portable. Il me prend en photo.
    
    — Ça te fera des souvenirs !
    
    Je suis très excitée par ces photos. Et je suis aussi soulagée qu’il le fasse avec mon téléphone. Je pourrai les supprimer plus tard si je ...
    ... veux.
    
    Il fouille dans le carton et il accroche quelque chose à mon collier. Une laisse. Il sait vraiment comment m’exciter. Il tire un peu sur la laisse, ce qui me fait me mettre à quatre pattes, puis il me promène un peu comme ça. Il s’emble y prendre beaucoup de plaisir, mais pas autant que moi. Il s’assied finalement sur le canapé et il me laisse à ses pieds.
    
    — Bon. Fini de plaisanter. T’as pas obéis à temps. Viens sur mes genoux.
    
    Je le regarde, un peu craintive, puis je me lève et je me couche sur ses genoux. Comme une écolière qui va recevoir une fessée. J’ai deviné juste. Il va me mettre une fessée. Il attrape quelque chose dans le carton, et avec il me met un coup sur les fesses. Ça me fait un peu sursauter. Il me met une fessée avec une règle. Les coups sont douloureux, mais pas violents. Ils ne sont pas non plus trop faibles.
    
    Le bruit de ma fessée résonne dans toute la pièce, et à chaque coup, mes fesses me piquent un peu plus. Il alterne ses coups sur chacune des fesses. Satisfait de lui, il s’arrête, me caresse un peu les fesses.
    
    — Par terre, à quatre pattes, et le cul bien en l’air que je l’admire.
    
    J’aime beaucoup quand il me parle comme ça. Dans la vie de tous les jours, je déteste le langage vulgaire, je hais les mots comme « Bouffer », « Cul », « À poil », « Branler », mais là, j’adore quand il les utilise. Je me mets à quatre pattes, et je lève mes fesses aussi haut que je peux. J’entends des bruits derrière moi, mais je ne sais pas trop ce que c’est. ...
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