1. La Révélation de Sophie (1)


    Datte: 03/09/2019, Catégories: Divers, Auteur: blueyes, Source: Xstory

    ... symptomatique de la vessie qui lâche. L’inondation commençait.
    
    Et vlan, vlan, vlan, trois coups d’affilée sur le même téton pour qu’elle ne puisse pas se retenir.
    
    « HHHAAäâäaaaa HHAAANNahaah
    
    — Compte !
    
    — Troisss… Quatre…. Aiieeee… Quatre… Mon dieu nonnnn… Je arrêtezzzzz…. »
    
    Elle se liquéfiait, pissait un peu des yeux et énormément de la chatte. Son visage était ravagé de larme pendant que l’urine débordait le coton et fuitait abondamment le long de ses cuisses salissant irrémédiablement les collants.
    
    Vlan, vlan, sur l’autre sein, pour être sûr qu’elle se vide entièrement.
    
    « Hahhhhh nonnnnn pitiéeeee, aiieee houiiiiieyyeee…. je n’en peux plus….. »
    
    Elle était tombée sur les genoux, dans la flaque de pisse, les mains en conque devant sa culotte pour masquer l’inondation. Le brun des mamelons, le rose des tétons s’agrémentaient d’un rouge sang affleurant.
    
    Il s’accroupit à ses côtés, lui caressa avec affection la tête. Et la tendresse dans la voix :
    
    « Lààà c’est rien. Tout doux, tout doux, Sophie. Ça va aller. Lààà, lààà calme toi, calme toi…
    
    — ouillououyyyeeee, ohhhhh, oohhhh, j’ai tellement honte.
    
    — Mais non, ma petite pisseuse, n’ai pas honte de ce que tu es. Tu es une petite pisseuse c’est comme ça.
    
    — Ohh Monsieur….
    
    — Allez lève toi ! Voilà comme ça. »
    
    Il l’aide tout en la maintenant à distance pour ne pas se salir. Il évite tout contact avec les jambes maculées de pisse. Il est cependant obligé de lui tenir le bras car elle ...
    ... vacille. Il ne dissimule pas une grimace de dégoût tellement elle pue.
    
    « Ohh Monsieur, il faut que…
    
    — Quoi ?
    
    — Mais que je me change !
    
    — Or de question ! Tu restes dans ta pisse ! Je ne transigerai pas là-dessus. Sinon tu n’apprendras jamais à être propre.
    
    — Ohhh Mon Dieu, c’est pas possible !!!!
    
    — On a presque fini la punition. On en était à combien de coups ?
    
    — Ohh nonnnnnn. Je n’y arriverai pas. S’il vous plait !!! Pitié !!!
    
    — Â ne recommence pas à faire des histoires ! Sois un peu courageuse ! Il reste huit malheureux coups de cravache.
    
    — Huit !!! Mais non !!!!
    
    — Tu t’es arrêtée de compter à quatre, Sophie. Allez ! Quatre coups de cravache sur chaque téton ce n’est pas si terrible que ça ! Si tu te conduis convenablement, après tu auras une récompense.
    
    — Monsieurrrr…
    
    — Tu m’entends ? Si tu ne réponds pas cela signifie que tu veux plus de coups. Alors m’entends- tu ?
    
    — Ouiii. »
    
    Il lève la cravache :
    
    « Oui qui ?
    
    « Ouii Monsieur.
    
    — Alors au travail. »
    
    Mais, alors que la badine se lève, par instinct de protection, la pleurnicheuse se ratatine et met les bras en protection devant ses jolis tétons déjà sérieusement martyrisés.
    
    « Sophie !!!! Les mains sur la tête ! Si tu veux, je t’attache les mains derrière le dos, mais dans ce cas, je rajoute six coups de cravache. A toi de décider ce que tu préfères, ma puce ».
    
    Il enchaînera très vite la flagellation, huit petits coups à la suite, quatre par tétons, dosés pour éviter de la ...
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