1. La Révélation de Sophie (1)


    Datte: 03/09/2019, Catégories: Divers, Auteur: blueyes, Source: Xstory

    ... faire souffrir. Rien à voir avec une torture. Elle s’est dandinée, puis tordue dans tous les sens, ses genoux ont ployé, elle a criée, plus d’appréhension que de douleur et, au final, elle a facilement encaissé. Maintenant, telle une Pietà, elle a les bras croisés devant ses seins endoloris, les mains reposent sur les clavicules, les doigts fins s’arrêtent juste là où commence la délicatesse des épaules ; l’icône de la virginité dans sa culotte souillée par la pisse, chouine en continu, s’interrompant juste pour renifler. Un filet morveux caresse l’ourlet boudeur de sa lèvre supérieur. Phil sort un kleenex de sa poche et gentiment lui torche le nez.
    
    « Tu vois Sophie, ce n’est pas si terrible que ça. Souffle. Là… Voilà. »
    
    La petite pouliche est trop subjuguée pour ne pas obtempérer et docilement, elle se laisse moucher.
    
    « Tu as mal ma petite puce ? »
    
    D’un mouvement de tête, la douce acquiesce à sa peine.
    
    « On va soigner ça. Tu vas voir. Va chercher le bol de glaçon.
    
    — Hein ?
    
    — Le bol de glaçon sur la table, à côté du vibromasseur. Va vite ma puce.
    
    — Vous…Vous…
    
    — Quoi ma chérie ?
    
    — Vous n’allez plus me frapper… S’il vous plait !
    
    — Mais bien sûr que non. Que tu es stupide de penser ça. Au contraire, je vais soigner ce gros bobo et après tu auras une récompense. Je te l’ai promis et je tiens toujours mes promesses. Allez dépêche-toi.
    
    — Mais… »
    
    Il lui suffit de prendre un air sévère :
    
    « Sophie ! »
    
    Et l’adorable petit cul ...
    ... obtempère.
    
    Bien sûr qu’elle est inquiète. Il y a la cravache, comme une menace, posée sur la table juste à côté du vibromasseur dont elle ignore la fonction ce qui renforce l’incertitude angoissante : qu’est-ce que son bourreau va encore inventer. Il s’absente un moment. Revient. Ohh mon dieu, qu’a t-il dans les mains ? Un tube ?
    
    « On va commencer par la glace. »
    
    Elle sait qu’en se dérobant elle s’exposerait immédiatement à la maltraitance. Et puis, les élancements lancinant de sa poitrine meurtrie, sa tenue humiliante, l’inconfort de sa culotte, l’urine qui s’est répandue sur ses cuisses, qui dégorge de ses collants, l’odeur de la souillure qui agresse ses narines, autant d’assignations à l’infériorité ; alors elle subit sans broncher. Il tient coincé entre deux doigts un glaçon et il abuse de ce prétexte, pour s’adonner à des attouchements ignobles. Elle tressaute quand la glace brûlante patine sur l’aréole, fond contre le mamelon, « chuttt ma puce, tout doux, tout doux, lààà voilà, tu vois comme ça te fais du bien… » et en effet la sensation d’anesthésie agit, sollicite en elle, alors que la douleur décroit, quelque chose comme du plaisir. Ses tétons contentés, la trahissent, ils se dressent ostensiblement et pas rancuniers, remercient celui qui, il y a quelques minutes à peine, les flagellait.
    
    Phil renouvelle l’opération et s’applique à provoquer une érection maximale des papilles mammaires. Interdite de parole, mais voulant quand même montrer qu’elle n’est pas consentante, ...
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