La Révélation de Sophie (1)
Datte: 03/09/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... mouvement de recul, mais n’ose se dérober. La grosse patte velue de l’étalon apprivoise la chair virginale, les doigts remontent sur les tempes, s’insinuent dans le rideau fin de cheveux noirs, comme pour rétablir l’ordonnance de ce visage parfait, glissent délicatement des mèches rebelles derrière l’oreille. Et la voix toujours aussi tendre :
« N’ai pas peur, Sophie. Je suis sévère, mais pas cruel. Tu as pour toi l’innocence et l’ignorance. Je ne te ferai pas trop mal. Mais accepte la punition. Dis-toi que c’est pour ton bien. C’est inéluctable. Je t’avais prévenu. Tu t’es entêtée. Maintenant tu assumes. Quoi que tu fasses, quoi que tu dises, tu vas recevoir ta correction.
— Monsieur… Ne me faites pas mal.
— C’est certes douloureux. Mais vraiment pas si terrible que ça. Absolument rien comparé à ce que tu vas subir pour tout le restant de ta vie si je me désintéresse de toi. Tu choisis quoi ? Eternellement honteuse et inaccomplie ou la douleur passagère causée par quelques malheureux coups de cravache amplement mérités ? Je veux te l’entendre dire ? Allez ! Je t’écoute quel est ton choix.
— Les…
— Dis-le distinctement ! Sinon je passe à douze coups !
— Les… les coups de cravache.
— Bien. Tu deviens raisonnable. Dernier point : après chaque coup, tu comptes. Si tu oublies de compter, le coup ne compte pas. Tu as entendu ?
— Oui… Monsieur. Mais alors…
— Quoi ?
— … Pas trop fort…
— Douze coups !
-Ôooohh nonn !
— On ne marchande pas ...
... avec moi. On consent et on remercie. »
Respiration haletante, Sophie appréhendait le cravachage des tétons. Elle ne cessait de se tortiller, espérait-elle ainsi se dérober à la punition ? Au moment fatidique, elle se protégea ; une garde de boxeuse plus que maladroite, une andouille qui ne serait jamais montée sur un ring, ainsi malgré ses bras pliés et resserrés contre le torse, les proéminences de chair roses étaient une cible évidente pour la lanière de cuir, impossible de ne pas mettre dans le mille ! Une impulsion du bras mesurée pour ne pas la faire souffrir, qu’elle comprenne qu’au fond, tout cela n’est qu’un jeu.
Et vlan !
La douillette poussa un hurlement, tituba, se dandina, en comprimant les jambes. Il comprit alors que la vessie pleine, elle était sur le point de se pisser dessus. Il avait bien fait de la faire boire autant. L’avilissement accomplirait la reddition. Mais elle serra les dents, elle se contenait encore.
« Compte Sophie !
— Hhahhh… Unnnnn. Monsieurrrr.
— Les mains sur la tête ! Sinon tu triches !
— Monsieur, je vous en supplie. Ça fait trop mal !!!!
— Tu exagères ! Et si tu continues comme ça c’est vingt coups que tu recevras ! Les mains sur la tête !
— Pitié !!!
Et vlan ! sur l’autre nichon.
— Hahhhnnhh »
Le tissu de la culotte s’auréolait déjà. Elle poussa un gémissement de détresse.
« Compte Sophie !
— Deuxhheuuu »
Elle ploya les genoux, se tortilla de nouveau en serrant encore plus fort les cuisses, ...