L'enfoutreur (3)
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... vraiment ? Vous connaissez déjà le bonheur de la queue dans le petit trou... Et vous mes amis, qui a déjà sodomisé sa femme ? Personne ? Elles sont encore plus putains qu’on ne pensait. Chers amis, ce soir je vous offre le cul de votre épouse... quand l’enfoutreur l’aura bien élargi... Commencez par ma femme... en attendant messieurs, chauffez-leur la raie et faites-vous pomper.
Comme je demandai du gel, on me dit qu’il faudrait m’en passer. Il fallait lubrifier à la salive ou à la cyprine.
Je commençai donc à défoncer Maguelonne qui hurla de douleur.
— Allons chérie, elle n’est pas tellement plus grosse que celle de mes valets que vous employez si souvent, du courage !
Au final ma verge entra assez facilement et je pus aller et venir dans son trou pour mon plus grand plaisir. La femme cria encore, surtout quand les mouvements s’amplifièrent et que les poids qui pendaient à son sexe se mirent à bouger.
Puis je passai à la suivante. Amédée-Jacques pénétra le cul de sa femme aussitôt tandis que ses amis montraient assez peu d’allant par crainte, je crois, d’éjaculer précocement.
Seuls les trois blacks, le jeune chauffeur et moi avions l’air de tenir la distance.
Cependant, je dois avouer que je n’avais pas une pratique soutenue des orgies et que toutes ses croupes offertes et toutes se bites dressées m’excitaient plus qu’à l’ordinaire et je dus me ralentir un peu. Je risquai de perdre le contrôle et de jouir trop vite en inondant un cul sans avoir pu ...
... forcer les autres.
Pour me contenir, je pris donc le soin, avant chaque sodomie de me reposer la trique en jouant de ma langue sur les raies du cul et les vulves avant d’y glisser mon dard. Je pus ainsi me reconcentrer et achever la tâche pour laquelle j’avais été invité.
A chaque fois qu’après avoir labouré l’anus d’une dame pendant quelques minutes je laissai place nette (enfin pas toujours si nette que ça) son mari s’y plantait et s’y déchainait brutalement. Il y avait du règlement de compte de cocufiage dans l’air. Les nanas erraient malmenées, insultées, fessées et, toujours, le mari stimulait un autre mec pour qu’il s’occupât des nichons et de la bouche.
A partir de la troisième, le mari eut l’idée de demander à un black de se glisser sous sa femme, de lui planter la chatte pendant qu’il lui fendrait les fesses.
Mes dernières patientes eurent donc droit à des doubles en bonne et due forme mais avec plus de fantaisie.
Ainsi, le plus grand de la bande, qui se prénommait Victor, haut de plus de deux mètres et qui était marié à la femme la plus petite et la plus jeune, la fit mettre debout, récupéra les poids qu’il accrocha aux petits bouts de seins tout roses sans tenir compte des protestations de l’intéressée, la fit se plier en deux et l’obligea à avaler la bite d’un des autres époux qu’il savait l’avoir cocufié. Puis il s’emballa pour lui limer sauvagement la rondelle.
Quand j’eus démonté les six culs, je me rendis disponible là où on m’appelait, soit pour ...