L'enfoutreur (3)
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... l’argent. Ces dernières sont les pires des putes et vous en faites partie.
— Oh !
— Ne protestez pas ! Vous m’avez séduit par votre beauté après fait le tour de plusieurs partis pour choisir le plus riche, cela vous a bien sûr contraint à coucher un peu... Vous avez par exemple fait l’amour avec Jean-Patrick ici présent et avec mon chauffeur... mais mon chauffeur, c’était pour le plaisir, pas pour l’épouser...
— Ah ce propos dit Amédée-Jacques... si on allait les chercher nos chauffeurs ?
— Pas tous Monsieur, suggéra Gédéon. Je préconise, en effet le chauffeur de Monsieur Ferdinand, il a déjà sauté Madame et elle s’en est fort bien trouvée et celui de Monsieur le baron, qui est jeune et m’a l’air fort porté sur la chose.
— Allez les chercher Gédéon.
— A condition, reprit le baron, que mon chauffeur ne baise pas ma femme, je suis d’accord.
Gédéon se rhabilla et pendant qu’il faisait ce qu’on lui avait demandé, le gars en face moi continuait d’exhiber les seins de sa femme. Il fit signe à un valet de venir.
— Athanase ?
— Monsieur ?
— Fourrez-moi cette grosse pute.
— Bien Monsieur ! Certainement, avec plaisir.
— Vous n’allez pas...
— Si Madame, si. Vous aimiez les amours ancillaires, reprenez-en !
Le black traversa la pièce, sa grosse tige se balançant majestueusement, et se planta devant la femme soumise. Il souleva la robe, fléchit les genoux écarta la soie rouge de la culotte et entra dans la fente.
Je compris qu’on m’avait amené ...
... pour être seulement, un boute-en-train, le détonateur d’une orgie dont la pénétration à laquelle je venais d’assister ne fut que le signal du départ après les hors-d’œuvre que je venais de servir avec la maîtresse des lieux.
Les hommes se mirent à poil et commencèrent à peloter leurs femmes. Gédéon revint avec deux chauffeurs, un trentenaire et plus jeune, très costaud qui ne se fit pas prier pour sortir son zob de son costard.
La femme qui se faisait sauter par Athanase ne résista pas longtemps aux coups de manches du géant et demanda, supplia même, qu’on la détache pour se cramponner aussitôt au mâle pour qu’il la pine bien à fond... Elle gémissait déjà de bonheur.
Les autres femmes se faisaient tripoter, branlaient et suçaient. Leurs appâts se dévoilaient lentement à mesure que les hommes attaquaient la poitrine ou la culotte.
Quand elles furent toutes nues, Amédé-Jacques ordonna :
— Amenez -moi toutes ces putes ici, foutez-moi leurs croupes en l’air, les unes contre les autres.
Rapidement, les six femmes se trouvèrent rangées prêtes à la levrette. Nous étions désormais deux hommes pour chaque femme, parfait équilibre, et je m’imaginai ce qui devait se passer ; Amédée-Jacques avait récupéré les pinces. Il les avait lestées plus lourdement et accrochées aux grandes lèvres de son épouse.
— Mesdames, laquelle ne s’est jamais fait prendre par le cul ?
Personne ne répondit.
— Ne faites pas les timides Mesdames, il n’y a pas de honte à cela... Aucune ...