1. Les jeux de Christine


    Datte: 11/03/2018, Catégories: fh, couplus, inconnu, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, uro, confession, Auteur: Philominicuir, Source: Revebebe

    ... peu.
    
    Nous mangeons un morceau. Buvons un peu. Nous nous caressons. La largeur de son short permet non seulement de voir mais aussi de toucher facilement. Nous nous embrassons follement.
    
    Nous sortons, comme elle le souhaite. Elle est merveilleuse. J’ai un peu peur des folies qu’elle est capable d’inventer et dont elle a envie de me réserver la surprise. Mais j’aime les surprises.
    
    Nous allons au café. Buvons demis sur demis (des bonnes bières d’Abbayes. Riches et douces, mousseuses et fortes.)
    
    Le temps est doux. Très agréable. Elle a ouvert sa tunique. Et aussi les jambes… Elle me demande à l’oreille de mettre mes doigts entre ses cuisses. J’hésite un peu, je m’enhardis. Elle est toute mouillée.
    
    Je la caresse. Un couple nous regarde. Complice de nos jeux. Visiblement excité.
    
    Christine les a vus, ça lui plaît terriblement. Ses cuisses s’ouvrent un peu plus. Elle me susurre à l’oreille quelques mots. J’ai du mal à comprendre tant je suis ému.
    
    En fait, elle me dit qu’elle aurait envie de baiser avec le type, même s’il ne lui plaît pas. Juste pour se faire baiser. Elle me demande encore de la toucher. Ce que je fais. Je lui écarte sa culotte afin que son sexe soit bien visible. Elle apprécie. Le type la mate. Il est vulgaire, gros, vieux. Elle a envie.
    
    Elle lui fait un signe. Il a compris.
    
    Le type nous suit. Nous habitons à côté du café.
    
    Sous le porche de l’immeuble, il la baise, devant moi, rapidement, sans lui retirer son short large, lui écartant juste sa petite culotte.
    
    Il s’en va.
    
    Christine me dit, rentrés à la maison :
    
    — Viens.
    
    Elle monte dans la douche, se retourne et pisse dans son short. Je la caresse, lui baisse son short. Je la lèche, bois ses humeurs toutes chaudes. Longuement. Je la baise ensuite. Comme jamais. Nous passons une nuit fort belle.
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