1. Les jeux de Christine


    Datte: 11/03/2018, Catégories: fh, couplus, inconnu, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, uro, confession, Auteur: Philominicuir, Source: Revebebe

    ... agréable. Touche-moi, tu aimes ça, je sais. J’ai d’autres projets avec lui, tu verras…
    
    Je suis très excité et un peu jaloux, malgré tout.
    
    Elle a envie de continuer la soirée. Je n’ai rien contre.
    
    Les rues calmes et les coins sombres sont idéaux pour les caresses intimes, les baisers dévorants. Nous en profitons. Je la force à déambuler dans la rue, jupe relevée, exposant son magnifique postérieur aux voyeurs occasionnels, ce qu’elle aime.
    
    Arrivés dans un renfoncement propice aux ébats, elle me dit de me cacher dans l’encoignure qu’elle me désigne et de l’attendre. Elle veut me faire une surprise…
    
    Je l’attends. De longues minutes après, elle arrive accompagnée d’un couple en quête d’aventures nocturnes. Ils ne sont pas là pour contempler les étoiles.
    
    Elle se retourne, écarte les jambes, jupe relevée découvrant sa croupe. Elle se laisse caresser par les mains fouineuses de la fille. Le type entre en scène, sexe dressé. Son visage vient longuement se plonger dans ses fentes huileuses. Elle a toujours adoré être léchée, les langues qui pénètrent, fouinent et fouillent et caressent l’excitent tout particulièrement.
    
    Enfin il la baise. Elle se trémousse. Ils jouissent assez rapidement.
    
    Elle me fait signe de sortir de l’ombre. La fille, Laetitia, brune elle aussi, m’attend, robe relevée découvrant son superbe cul.
    
    Je plonge mon visage dans ce cul offert aux outrages. Ma langue et ma bouche dévorent longuement ses guenilles trempées d’envies. Je bande ...
    ... comme un âne – selon l’expression consacrée. Je sors mon vit tuméfié d’envies. Je la fous et ne tarde pas à jouir. Plaisirs rapides, « à la sauvette ».
    
    Nous nous séparons.
    
    Je voudrais rentrer, dormir, rêver. Christine veut encore s’amuser, jouir de son corps, provoquer encore.
    
    J’accepte. Aller au bout de la nuit et de tous ses interdits. Oui. La nuit est douce, chaleur, troubles envies.
    
    Dans un petit coin, elle me dit :
    
    — Regarde !
    
    Elle s’accroupit se met à pisser sans ôter sa petite culotte (il faut dire, déjà bien trempée). Je la caresse, la triture avec son linge mouillé sur lequel je passe ma langue avide. Chaude et aqueuse impression. J’aime ça. Elle adore ça !
    
    (Une parenthèse : j’ai connu une jeune femme qui adorait « souiller ses culottes » toujours mouillées de cyprine, bien sûr, de foutre, parfois et le plus souvent, de pisse. Sous ses jupes ou minijupes en cuir, elle portait des petites culottes en coton blanc. J’adorais, lorsqu’elle rentrait du travail, vérifier leur état : mouillées, trempées. Je la caressais d’abord longuement puis allais poser ma bouche et ma langue sur son sexe, respirer ses odeurs féminines. Puis je la baisais, follement.)
    
    Une autre fois, avec Christine.
    
    Elle me fait la surprise de venir me chercher vêtue d’un short en jean effrangé, court et large. Coupé par ses soins dans un trop grand et vieux pantalon en denim.
    
    Elle est superbe. Un peu vulgaire. Bottes hautes. Une petite tunique courte, à mi-cuisses, la cache un ...