1. Les jeux de Christine


    Datte: 11/03/2018, Catégories: fh, couplus, inconnu, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, uro, confession, Auteur: Philominicuir, Source: Revebebe

    Je vous livre ma confession.
    
    J’ai entretenu une relation assez particulière avec Christine, une grande brune, assez en chair, la trentaine. Elle ne passait pas inaperçue dans les tenues que je lui imposais ou celles qu’elle choisissait afin de me surprendre. Se montrer, être vue était un choix assumé et partagé par moi. Jeux innocents et pervers, jamais vulgaires.
    
    Nous avions fixé une sorte de contrat. Tous les week-ends ou presque, nous établissions, à tour de rôle, un petit scénario érotique.
    
    Elle arrivait chez moi. J’étais toujours ému de la voir apparaître : cheveux de jais coupés au carré. Ce jour-là, elle avait accepté de porter ma tenue préférée : mini-jupe en cuir noir évasée, bottines, petite culotte blanche, tee-shirt bien moulant.
    
    Elle me dit :
    
    — Je vais me sentir pute dans cette tenue. Mais j’aime, et tu ne seras pas déçu, tu verras !
    
    Nous prenons le métro. Christine est assise sur un strapontin devant moi. Elle a le visage enfoui dans un journal féminin. Elle ouvre doucement les jambes, les croise et les décroise. Je mate. Je ne suis pas le seul. Cela m’excite (nous excite). Elle adore que je la voie être vue. Et elle adore être vue par des inconnus fantasmant sur elle, sur ses dessous, son sexe, ses cuisses. On aperçoit sa petite culotte blanche, son sexe qui déborde du petit linge fripé qui le couvre à peine.
    
    Nous arrivons en un lieu aimé (Montparnasse). La terrasse d’un grand café du quartier, animée. Une boisson forte pour se donner de ...
    ... l’entrain. Des bisous tout plein.
    
    Christine me souffle à l’oreille que le vieux type qui semble l’avoir remarquée, assis un peu plus loin en face de nous, lui plaît. Elle lui jette quelques regards significatifs. Je lui dis :
    
    — Allume-le, si ça te plaît !
    
    Elle croise et décroise les jambes, les ouvre. Sa jupe remonte découvrant ses cuisses un peu plus. Ce petit jeu à l’air de lui plaire et de lui convenir. Elle me confie être très excitée.
    
    Je me retire.
    
    Nous nous fixons un rendez-vous dans un autre café. Un peu plus loin. Elle est désormais seule et libre.
    
    Je l’attends.
    
    Une demi-heure plus tard, elle me rejoint. Radieuse. Elle est allée baiser dans les toilettes du café avec ce type. Elle me confie qu’elle a « joui comme une salope ». Elle veut me raconter les détails de cette « rencontre » :
    
    — Alors, dès que tu es parti, je suis allée dans les toilettes (propres et spacieuses), il m’a rejointe. Tout de suite, sans un mot, sa main s’est glissée sous ma jupe, entre mes cuisses. J’ai dégrafé sa braguette et ai commencé à lui tripoter par-dessus son slip ses énormes couilles (j’adore ça, comme tu sais !). Puis il m’a dit de me retourner et m’a longuement léchée… Hum ! Je lui ai enfilé la capote que tu m’avais donnée, en prévision ! Il m’a baisée. Nous avons joui assez rapidement tant nous étions excités. Il est sorti. J’avais tellement envie de faire pipi que je n’ai pas eu le temps de retirer ma culotte. Au point où elle en était ! J’ai trouvé ça très ...
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