Mon Apocalypse à Moi 03
Datte: 11/03/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byDesonrage, Source: Literotica
... l'escalier.
Farida!
-Oui, monsieur. Dit elle.
-Tu es descendue en douce. Tu es une sale voyeuse.
-Je...
Silence. Pour ta punition, tu vas laver les deux filles.
La petite nettoya les dégâts avec soin, récurant au gant de toilette la poitrine de maman et tamponnant délicatement l'orifice profané de Priscilla.
Je passais une grande partie de mon après midi à laver l'avant du 4x4 au jet. Le jus de mort coula sur le sol gravillonné. Pendant ce temps, Kévin évacua le cadavre du chien par dessus la clôture de la maison voisine. Je rentrais à un moment, parce qu'avec toute cette eau, j'avais envie de pisser. Priscilla se mit à genoux et forma un tube avec ses lèvres bien serrées. Je me vidais à long traits. Lui laissant de courtes poses pour inspirer par le nez. Ça me plut, mais ne m'excita pas vraiment. Je descendais à la cave faire le tour de nos réserves. Le stock de nourriture était très impressionnant. La clé idoine ouvrit sans problème l'armoire forte. Deux automatiques, plusieurs couteaux de chasse, un fusil à pompe et une arme de bon calibre me tentaient. Je refermais le coffre et remontais au rez de chaussée.
-Farida!
-Oui monsieur.
-Tu sais ce que c'est, ça?
-Non.
Je lui tendis ce qui ressemblait à une courte cravache.
-C'est un fouet à chien. Tu vois le bouton rouge?
-Oui.
Je lui posais la lanière du fouet sur son bras nu et appuyait sur le bouton. Le choc de la décharge électrique la vit crier et vaciller.
-Ça fait mal. ...
... Dis je
Elle hocha la tête en se tenant le bras, qui pendait, inerte.
-Ne t'inquiète pas, ton bras bougera de nouveau très vite. En fait, tu vas le mettre à ta ceinture et tu seras la gardienne de Priscilla et maman.
-Elle a pas de prénom?
-Si, sûrement, mais on l'appelle maman. Évite de leur faire trop mal. Comme ça, je pourrai leur détacher les chevilles.
-Elles sont plus fortes que moi!
-Elles ne sont pas stupides. Si elles s'enfuient, les monstres les mangent, et si elles t'embétent, je les punirai.
Les deux filles avaient écouté notre échange avec inquiétude. Elles se massèrent les chevilles, là où l'anneau avait laissé une rougeur. J'étais obligé de leur enlever. Elles marchaient beaucoup, ça allait s'ouvrir et s'infecter. Et en ces temps troublés, une infection n'était pas indiquée. Et puis, Farida nouait une ceinture rose avec un air revêche. Elle tenait sa revanche de fillette effacée. J'avais remarqué, dans la cour de récréation, ses talents de meneuse. Elle ferait un préfet de discipline redoutable. Son voyeurisme était gênant, bien sûr, mais finalement, cela ajoutait un peu de piment. Et puis cela lui donnait une formation de base. Bien qu'à mon avis, rien ne vaut l'expérience. Le soir, j'autorisais la famille à manger avec nous.
-Demain, il faut fermer le hameau. Dis-je au dessert. L'électricité et l'eau sont précieuses. Il ne faut pas gâcher. On va couper l'eau et l'électricité partout où on pourra, pour économiser.
Un assentiment général ...