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Mon Apocalypse à Moi 03
Datte: 11/03/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica
3 -Et bien, bravo! M'exclamais je. Ça puait dans le salon. Maman avait le derrière des jambes souillé de merde liquide qui avait formée une flaque sous son fauteuil, et Kévin s'était pissé dessus. Seule Priscilla avait su se tenir. En récompense, je la libérais quelques peu et la menait aux toilettes. Elle se soulagea avec un grand bruit d'écoulement et quelques ploufs. Je l'attachais ensuite avec un collier après le pilier entre l'espace salon et l'espace repas. J'empoignais ensuite maman merde par les cheveux et la menait dehors. Elle pleurait en sentant le jet d'eau glacée l'asperger pour enlever les traces de la nuit dans le matin frais. Je la ramenais dans la salle frissonnante et couverte de chair de poule. Christelle avait trouvé un nécessaire de ménage, et Kévin s'employait à faire disparaitre les traces de l'inconduite familiale. Je fis mettre Priscilla à genoux et lui ordonnais de me prendre dans la bouche. Elle me regarda avec dégout. C'était l'heure de sa rasade de pisse. Elle avala les premières gorgées sans problème mais s'étouffa ensuite et répandit l'essentiel sur son t-shirt de pyjama. Je tranchais celui-ci et découvrit un corps parfait. Elle était plus grande que Christelle, avec de beaux seins ronds et des hanches mieux dessinées. Je tranchais aussi sa culotte fantaisie et découvrit un abricot épilé avec soin. C'était réellement une très jolie fille. J'aperçus l'éclair dans les yeux de Christelle. Mon esclave était jalouse de la prisonnière. Je me ...
... relevais en me rajustant. -Christelle, ma chérie, passe la pissotière au jet . Maman café va préparer le petit déjeuner. Maman se déplaçait à tout petits pas, entravée par ses chaînes aux pieds. Elle était nue aussi, ses seins lourds et son petit ventre montraient son âge. Sa toison peu entretenue s'étalait en buisson serré entre ses jambes. Elle préparait pour tout le monde café au lait et tartines beurrées. Elle disposa la table pour Christelle et moi. Et donna un bol et des tartines à Kévin. Priscilla revint, tremblante et glacée, précédant Christelle qui souriait méchamment. Je me plaçais après le petit déjeuner au centre de la pièce. J'appelais Christelle et la fit mettre à genoux. Elle comprit de suite et déboutonna ma braguette. Elle saisit mon membre à la base et le parcourut de sa langue. Puis embrassa le gland avant de l'emboucher profondément. Elle commença un doux va-et-vient tandis que sa langue jouait autour de ma hampe. Elle avalait de plus en plus de phallus, la sensation incongrue de son bout du nez froid sur mon pubis m'arrachant un grognement surpris. Elle renouvela plusieurs fois cette gorge profonde. Putain, c'était délicieux. Lorsque je plongeais un instant dans cette petite mort connue sous le nom d'orgasme, je dus m'appuyer sur ses épaules pour ne pas tomberr tandis qu'un torrent de foutre lui remplissait la gorge. Christelle se releva en se passant la langue sur les lèvres. Elle irradiait de fierté. Je songeais à la spectaculaire évolution en trois ...