Mon Apocalypse à Moi 03
Datte: 11/03/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byDesonrage, Source: Literotica
... jours, de pucelle à salope. Les trois autres avaient le regard éteint.
-Bien, dis-je. On va aller faire un tour, Christelle, Kévin et moi. Je vais vous libérer les mains, les filles, que vous puissiez faire un vrai nettoyage.
-Vous n'avez pas besoin de lui, dit maman.
-Tu fais chier, mamanbalai. Tu vas tout nettoyer nickel et nous, on va chercher des glaces.
Le pickup familial était très facile à conduire, et équipé d'un chasse buffle en acier brillant. Cet accessoire, risible en Ile de France , trouvait toute son utilité en cas d'invasion zombie. Je visais une femme qui titubait dans la rue et l'étalais proprement pour le compte. Je percutais un vieux, un gosse , et deux ados habillées vulgaire. Christelle et moi accompagnions ces exécutions de commentaires plaisants. Je remarquais que Kévin ne disait rien. Je le regardais dans le rétro. Il était blême.
-Qu'est-ce qu'il y a? Demandais je.
-Je connaissais ces filles.
-Si tu veux, on peut retourner les voir, je crois qu'il y en a une qui bouge encore, elle sera d'accord pour un bisous, je pense.
-Arrêtez la voiture. Gémit Kévin.
Il sortit gerber dehors. Il était super sensible, sous ses dehors de crétin, finalement.
J'avais la supérette;"Chez momo". Ce gars avait un plein congèlo d'Hagen Dass. À 8€ pièce, mais aujourd'hui, c'était promotion. Je descendis avec le fusil à pompe en travers de la poitrine et un marteau à la main. Je m'étais équipé d'un masque de paintball, de mes gants de moto et ...
... d'un blouson de cuir. La porte était ouverte, j'entrais. Un zombie avançait vers moi. Évidemment, ce con d'épicier avait même dû dire bonjour à celui qui l'avait mordu, faut dire qu'avec la Horde de clodos qui venait au ravitaillement en pinard et flasques de merde, il avait dû avoir du mal à discerner le changement. Ses mains agrippèrent mon blouson et je le frappais au milieu du front. Le marteau imprima sa marque au dessus des yeux. Il tomba en arrière avec fracas. D'autres pas lourds approchaient . Trois ombres grognantes se dirigeaient vers nous. Un homme, une femme voilée et un jeune garçon. Ce qu'ils puaient, les cons.je reculais et ils trébuchèrent sur le cadavre du père de famille. J'éclatais la nuque du mec qui était tombé en premier et Christelle planta sa lance dans la bouche de la femme, emportant quelques dents. Restait l'adolescent . Il ne restait plus grand chose du jeune effacé et discret qui servait les fruits et légumes avec un gentil sourire. Son éternel sweat était maculé de rouge autour de l'épaule gauche, autour d'un endroit mordu. "Merde, Karim." Dis je. Je m'appliquais. Un bon coup sur le sommet du crâne. Je continuais vers le fond du magasin. La porte du petit appartement était ouverte. Je me glissais à l'intérieur. Le sol était poisseux de sang séché. Bravo pour l'hygiène dans un magasin alimentaire! Les trainées partaient vers le fond de l'appartement. Je suivis, mené par une sorte d'instinct. La porte des toilettes était fermée. Je toquais à la ...