Un rêve ou la réalité ?
Datte: 30/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... échangeant ce baiser où je place une perversité excitante, je continue de bouger dans le fourreau d’Agnès.
Mais il faut savoir ne pas brusquer les choses. Déjà nous avons… C’est beaucoup…
Même dans mes histoires, je cherche à rester réaliste. J’essaie d’éviter la femme sage, réservée, qui se transforme en bombe du sexe, baise avec qui le veut bien, ne met pas de capote, pompe, avale avec le vice le plus absolu, se fait enfiler, enculer, finit entre trois hommes.
Alors ici, avec Agnès, dans la vraie vie, il faut savoir raison garder ou, pour le moins, savoir ne pas pousser le bouchon trop loin au risque de le perdre…
— J’ai gagné, mais je ne vais pas mettre ma menace à exécution.
— Ta menace ? Moi je n’avais pas pris cela comme une menace. De toute façon j’ai perdu, j’ai perdu, j’assume.
— Chérie, voyons, tu ne te rends pas compte !
— Donc tu te dégonfles. C’est bien la meilleure. Toi avec tes récits…
— Mais non, je… C’est…
— Voilà tu redeviens comme avant. Chéri, je suis fatiguée que tu te comportes avec moi comme si j’étais une petite chose, fragile, une épouse qu’il faut protéger. Tiens, écoute !
Elle prend ma tête entre ses mains et l’approche de la sienne. Sa bouche plaquée contre mon oreille, je l’entends me susurrer :
— Tu sais, j’aime bien l’idée du bandeau. Ça doit être très excitant. Ne pas savoir qui… Imaginer… Se faire tout un cinéma… Tiens, si tu veux, j’ai de très beaux foulards. Ce serait plus élégant qu’un bandeau basique. Et ...
... ils pourraient servir pour les liens… Tu ne crois pas…
Je n’en crois pas mes oreilles.
Mais non ! Mais bien sûr ! je sais, ça recommence : c’est encore un rêve !
— Pince-moi.
— Quoi ? Pourquoi ?
— Pince-moi. Tu verras bien !
Je sens un léger pincement.
— Plus fort !
Cette fois-ci, elle y a été franchement. J’ai bien senti, même que la douleur irradie dans tout mon côté.
Non, je ne rêve pas. Ce n’est pas comme tout à l’heure !
C’est la réalité. Mon bureau. Ma femme. Ma bite essorée dans sa gorge. Ma bite engloutie dans une fente vorace.
Je me redresse soudain taquin :
— Il va falloir être très gentille.
— Coquin !
— Coquine !
— Pervers !
Je me redresse. Je suis à nouveau debout, face à ma femme allongée. Elle me paraît être une autre ! Différente ! Plus femelle ! Je recommence à la baiser, la tenant rudement par les hanches.
— Cochonne !
— Oui, mon chéri. Cochonne…
J’accélère. Elle m’enveloppe de ses jambes. Son bassin se soulève. Elle gémit de mes assauts.
— Alors comme ça, tu aimerais que je t’attache… Que je te bande les yeux… Que tu puisses imaginer que c’est un autre…
— Oui, mon chéri. C’est bon. C’est bon. Tu es si dur. Que je suis contente d’avoir perdu. Que de temps perdu. Si j’avais su !
— Et moi donc. Je ne savais pas que ma femme était une salo…
Je me tais, conscient que le mot est fort et pourrait la choquer. Mais…
— Salope, crie-t-elle ! Oui, tout ce que tu veux ! Pour toi ! La pute de tes ...