1. Un rêve ou la réalité ?


    Datte: 30/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... inconnue.
    
    Ma queue avance, impatiente de faire enfin ce que j’ai tant décrit et qui me semble le summum de la fellation. Je me glisse dans cette grotte qui me semble soudain sans fond. De mes mains plaquées sous sa tête, je guide ma femme pour que le chemin de sa gorge me soit offert. Ce n’est pas si facile. Dans mes récits, l’homme est souvent tellement excité et maître de la femelle, qu’il se pousse tout de suite à fond, jusqu’à ce que ses couilles se frottent au nez de la femme qui n’a plus alors que le petit trou de l’homme comme horizon.
    
    C’est ma femme, je ne l’oublie pas. Ma femme, même si en quelques minutes, nos échanges me semblent avoir changé notre horizon.
    
    Prudemment je m’avance. Lorsque je me retire, la laissant reprendre sous souffle, c’est, comme je l’ai vu dans des vidéos pornos, des filets et des voiles de salive qui se répandent sur son visage. Sa gorge est maintenant un gouffre gras et humide.
    
    Voilà… Je suis à fond… Mes couilles sentent le souffle de ma femme que le nez expire. Elle bouge… Suffoque… Je me retire… Dans ses yeux, des larmes viennent s’ajouter aux traces de salive… Mais je suis si excité que j’y retourne… Je la baise, déclenchant le bruit infâme de ma bite qui brasse la salive… C’est bon… Très bon… Bon comme un fantasme qui se réalise parfaitement, avec tout ce qu’on a rêvé. Une seconde, je redeviens raisonnable et enlève mon mandrin. Quelques secondes où je me dis que c’est trop, qu’elle va se relever, que je lui en demande ...
    ... trop. Mais non… À travers un voile humide, elle me regarde… Elle me défie… Elle ne bouge pas… Elle ferme la bouche et dans un mouvement de glotte, elle avale sa salive… Mais elle ouvre la bouche à nouveau… Elle est têtue, volontaire. Je la reconnais bien là. À moins que comme moi, elle se laisse emporter par le vice…
    
    Ses lèvres se referment sur ma hampe. Je la bourre, deux-trois coups, et je sens que ma jouissance arrive. Je me retire un peu afin que seul mon gland soit prisonnier.
    
    Je me libère. Mon jus doit jaillir avec v******e, mais les lèvres forment un anneau étanche. Trois, quatre giclées. Mes couilles sont pleines de mon rêve et de ce que je vis vraiment.
    
    Je sens une langue qui m’essuie.
    
    Je me retire. Lentement, lentement. Les lèvres se referment.
    
    Oh ce regard ! Elle croise le mien, mais aussi va vers ma bite comme pour vérifier que le reflux est amorcé. Elle relève un peu la tête. Et puis, cette déglutition qui libère sa gorge. Déglutition que la position rend abjecte. Je vois la glotte bouger. J’imagine mon foutre entraîné, plonger dans les abîmes. Une dernière fois encore, puis elle me sourit. L’étanchéité n’est pas parfaite. De ma crème a suinté aux commissures de ses lèvres.
    
    Elle tourne la tête pour regarder ma bite. Elle a rempli, et avec quel bio, sa part du marché. Mais je ne lui laisse pas le temps de vérifier, qui de nous deux a gagné le pari. Je fais le tour de mon bureau. Son pubis est là. Je repousse les jambes. Je me glisse entre elles. Je ...
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