1. Un rêve ou la réalité ?


    Datte: 30/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... passe les mains sous les fesses. Ma queue est horizontale. Tendue comme jamais.
    
    Tu vas perdre ma chérie, pensé-je. Peut-être en temps normal, je n’aurais pas pu, mais ici, sur ce bureau, après tout ce que tu m’as dit, presque avoué avoir été troublée par mes scénarios, même pas choquée de ce que tu as lu sur mon ordi, acceptant de parier en toute connaissance de cause, acceptant cette fellation si chargée de sous-entendus, avaler mon foutre sans rechigner… Oui… Je bande encore… Et d’une érection qui…
    
    Ma bite se glisse entre les deux vagues des petites lèvres. Elle écarte les chairs. Elle entre, avance, encore lubrifiée de salive. J’aurais aimé avoir une grosse bite comme celles des amants noirs que l’on peut voir dans les vidéos « multiraciales ». Une queue sombre, veinée, longue, large qui déclenche des cris de plaisir de ces femmes presque systématiquement présentées comme des vicieuses, des salopes, des nymphos ou bien obéissant aux ordres d’un mari bienveillant qui regarde et parfois vient goûter vicieusement à la dureté du dard et du jus qui coule de la fente largement honorée par ce monstre de chair.
    
    Mais si ce n’est que moi, au moins je peux faire sentir à Agnès qu’elle se trompe. Je lui donne quelques vigoureux coups de bite pour qu’elle me sente bien. Je crois que je suis encore plus raide… « N’est-ce pas, ma chérie… »
    
    Je me penche sur elle. Tout en lui faisant bien sentir mon dard, je questionne :
    
    — Alors ! Qui avait raison ?
    
    — Toi… Je ...
    ... reconnais…
    
    Je la regarde. Son visage est un champ de bataille. De la salive a même coulé sur son front et souillé ses cheveux. Elle a du mal à ouvrir les yeux, ses paupières devant repousser des filets gluants.
    
    — Ne me regarde pas, je dois être affreuse.
    
    — Non, au contraire tu es très belle.
    
    J’att**** cependant un kleenex d’une boîte qui traîne sur le bureau pour dégager ses yeux.
    
    — Merci.
    
    Je ne mens pas en disant qu’elle est belle. Je la trouve belle même si toutes ces coulures pouvaient être qualifiées d’infâmes, d’abjectes ou d’avilissantes par un étranger. Mais moi, j’y vois mon œuvre, une œuvre partagée par ma femme.
    
    Je ne suis pas un sentimental, mais spontanément, je dis en me penchant pour effleurer ses lèvres :
    
    — Je t’aime.
    
    Le baiser est léger. Ses lèvres sont humides.
    
    — Moi aussi, je t’aime, mon chéri.
    
    Elle m’attire à elle. Cette fois-ci le baiser est plus profond. Sa langue me cherche. Je ne peux m’empêcher de penser qu’il y a seulement une minute, sa langue brassait mon foutre ; d’ailleurs je sens ce goût particulier. C’est donc ça ! C’est vraiment différent de ce que j’ai déjà… Oui une fois, emporté par mes écrits où j’aime que le foutre soit dégusté par la femme, même plus rarement par le mari soumis, j’avais goûté au mien après une branlette vite menée. Le goût était différent. Impossible aussi à comparer à des pratiques entre adolescents où Rémy et moi, face à face, nous nous branlions pour tester ces premières érections.
    
    Tout en ...