Soins à domicile
Datte: 30/08/2019,
Catégories:
fhhh,
médical,
nympho,
Partouze / Groupe
Auteur: Marie Thérése, Source: Revebebe
... aie laissés aussi longtemps sans nouvelle et, d’autre part, c’était moi qui était demandeuse… L’exigence avait donc changé de camp.
J’avais accepté l’idée qu’ils déterminent toutes les limites pour moi.
La première fois, il n’y eut rien de bien différent d’avant, si ce n’est qu’ils étaient tout de même onze devant moi. Mais ce fut très agréable après un si long moment d’abstinence. J’appréciai même particulièrement une très belle pipe que je fis à un bel éphèbe noir doté d’un très beau sexe, pas très gros mais particulièrement long. D’ailleurs quand il m’a sodomisée, j’eus l’impression qu’il allait ressortir par mon nombril.
Cela dura ainsi pendant plus d’un an. Un jour, l’un d’entre eux m’avoua d’ailleurs que même si j’avais accepté leurs règles, ils n’osaient pas monter la barre de peur que je ne revienne plus. Je les autorisai donc à repousser la limite aux deux seules conditions qu’il n’y ait pas de violence et surtout que les rapports soient protégés.
Ils purent ainsi donner libre cours à leur perversité. J’eus ainsi droit à un week-end entier, en compagnie de dix-neuf garçons, où l’on me confisqua mes vêtements à l’entrée. Ce fut certes très physique, mais j’avais connu nettement plus jouissif.
La fois d’après fut plus agréable… Le lieu de rendez-vous était un entrepôt désaffecté où l’on me ...
... banda les yeux avant de me déshabiller. Je ne sus jamais qui, ni combien de personnes me baisèrent ce soir-là… La seule chose dont je suis sûre, c’est que ce fut non stop jusqu’au petit jour et que certains d’entre eux avaient un sexe plus gros que d’ordinaire.
Une autre fois, ils me suspendirent avec des chaînes qui servaient à lever des moteurs dans un garage. Ils n’étaient que quatre, mais se servirent de tous les outils qu’ils avaient sous la main.
Tout en me masturbant le clitoris avec l’air comprimé de l’appareil à gonfler les pneus, ils m’enculèrent avec un gros manche de marteau. C’était aussi douloureux que jouissif. Je crus d’ailleurs passer au bord du malaise quand le plaisir me pris et je contractai tellement mon anus que, malgré le poids, le manche planté dans mes fesses tint tout seul.
Aujourd’hui, je suis incapable d’avoir une vie sexuelle normale, je ne baise qu’une fois par mois, mais au moins à chaque fois je prends mon pied et je suis incapable de m’en passer.
J’ai la chance de le faire avec des personnes qui ne me demandent jamais plus que ce que je ne veux donner et j’attends avec impatience la prochaine fois. Je ne cherche pas à étendre le cercle de mes amants, mais si l’un d’entre vous a des idées de scénario que je me sens capable d’assumer, je les leur transmettrai.
Marie Thérése