1. Soins à domicile


    Datte: 30/08/2019, Catégories: fhhh, médical, nympho, Partouze / Groupe Auteur: Marie Thérése, Source: Revebebe

    ... assis sur le canapé. Je sortis des lingettes pour leur nettoyer la verge et je posai ma montre sur la table basse en annonçant la gratuité à celui qui tiendrait le plus longtemps. Ce fut mon habitué qui l’emporta haut la main en tenant presque dix minutes alors que les autres ont péniblement tenu trois à quatre minutes.
    
    J’avais retrouvé pas mal d’excitation à faire ce petit jeu où ils n’étaient parfois pas loin d’une dizaine pour la séance… Mais il n’y aurait jamais eu de débordement si je ne leur avais pas, un jour, proposé de le faire toute nue.
    
    Ce jour-là, je m’étais épilée intégralement et - soyons honnête - j’avais vraiment envie de me faire sauter. Il ne fallut pas longtemps pour sentir une main se glisser entre mes cuisses et découvrir l’humidité qui trahissait mon désir.
    
    — Elle mouille comme une truie, va falloir assurer les gars !
    
    Ils étaient six ce soir-là et ce fut la première fois où j’eus autant d’orgasmes en une seule nuit ! Ils me prirent de partout pendant près de trois heures, sans répit, enlevant juste leurs capotes pour se vider dans ma bouche.
    
    J’eus un peu mal au cul pendant quelques jours, mais dans l’ensemble je trouvai l’expérience intéressante, même si j’attendis deux bons mois avant de renouveler l’aventure.
    
    Ainsi, tous les mois, je m’offrais une partie de jambe en l’air avec quatre à six garçons et c’était très satisfaisant. Dans ce genre de cas, on n’envisage jamais l’escalade vers laquelle on peut se laisser entraîner…
    
    Je ne ...
    ... critiquerai personne, car chaque cran que je franchissais, c’était à ma demande.
    
    Un soir où j’étais particulièrement excitée, je leur demandai de me lier les mains aux pieds du lit pour qu’ils puissent abuser de moi plus librement. C’était dément, ils s’acharnèrent sur mes orifices comme des morts de faim ! Et comme si cela ne suffisait pas, quand plus aucun d’entre eux ne fut plus en état de me prendre, ils s’amusèrent à m’introduire des fruits dans la chatte et le cul avant d’y ajouter de la crèmeMont-Blanc. Et j’ai ainsi servi d’assiette à dessert.
    
    Ce fut grandiose, je sentis leurs langues et leurs doigts me fouiller pour récupérer les morceaux de banane ou les cerises qu’ils m’avaient introduits. Et comble de tout, je hurlai de plaisir (le terme est vraiment le plus adapté), d’ailleurs à la plus grande surprises de tous, y compris de moi.
    
    J’avais déjà vu dans des films pour adultes des filles crier de plaisir, mais ne vous leurrez pas Messieurs, pour atteindre ce degré de plaisir, il en faut un paquet. C’est d’ailleurs plus effrayant qu’autre chose, car là, niveau maîtrise, c’est le zéro pointé, on est totalement sans défense, victime de son propre corps qui a coupé tous les liens avec le cerveau.
    
    Mais malgré le plaisir que j’avais pris, je mis un terme à toutes ces séances. J’ai tenu huit mois avant de décrocher le téléphone, c’était plus fort que moi, ça me rendait dépressive.
    
    Mais là, la situation était différente : d’une part, ils étaient déçus que je les ...