Soins à domicile
Datte: 30/08/2019,
Catégories:
fhhh,
médical,
nympho,
Partouze / Groupe
Auteur: Marie Thérése, Source: Revebebe
Je m’appelle Marie Thérèse, j’ai 34 ans, et suite à mon divorce, j’ai dû reprendre mon métier d’infirmière à domicile. Au début, cela ne m’enchantait pas vraiment, mais une rencontre a donné une autre dimension à mon métier…
C’était en juin 2004, en début de matinée, je devais faire des soins chez un patient qui venait d’être opéré d’un abcès. Ce qu’il avait oublié de me dire, c’est que celui-ci était issu d’un poil qui avait poussé à l’envers sur les testicules. Au niveau professionnel, ce sont des soins tout à fait bénins… Sur le plan humain, par contre, c’est quelque chose que je n’avais encore jamais vécu.
Cet homme habitait dans un quartier d’immeubles pas trop bien fréquentés. Il avait 25 ans au plus. Lors de mon premier passage, il se sentit quelque peu gêné, non pas par les soins eux mêmes, mais par l’érection qu’il me montra quand je lui rasai les testicules pour le désinfecter et lui changer le pansement qui maintenait les quelques points de suture.
Les fois suivantes furent beaucoup plus détendues… Et le jour où je lui ai retiré le drain, pour me faire pardonner de la douleur occasionnée, je lui ai délicatement embrassé le gland ou perlait une goutte de liquide séminal.
Que n’avais-je pas fait ! Il me proposa de tripler le prix de la consultation si je vérifiais par moi-même que tout son outillage fonctionnait encore parfaitement. Je le regardai d’abord totalement surprise avant de lui répondre :
— Pourquoi pas ?
Je lui fit une pipe magistrale, ...
... me surprenant moi-même d’y prendre un certain plaisir au moment d’avaler sa semence. Il me paya comme convenu le prix avancé pour les soins, et me demanda si j’étais prête à le refaire un autre jour. C’était demandé si naturellement que je lui répondis de nouveau « pourquoi pas » !
Et c’est ainsi que pendant tout l’été, je vins apporter des soins buccaux à cet homme une fois par semaine.
Le changement vint tout d’abord de moi car je trouvais finalement cette situation excitante, et je me suis mise à avoir des attitudes de plus en plus aguichantes, des décolletés de plus en plus plongeants, pour finir par venir chez lui sans slip ni soutien-gorge.
Lui, bien sûr, ne se serait douté de rien si je ne lui avais, un jour, pris la main pour la glisser dans mon chemisier… Et vous imaginez assez vite la suite. J’ai passé le restant de la nuit dans son lit, lui offrant sans pudeur mes trois orifices qui attendaient depuis presque deux ans, qu’on leur rende hommage.
Ce ne fût pas une nuit vraiment extraordinaire, mais plutôt agréable quand même. Ce que je ne réalisais pas, c’est que cette nuit-là allait révolutionner ma façon de vivre. J’avais eu, pour la première fois, une relation sexuelle non par amour, mais seulement par désir.
Nous avons refait l’amour plusieurs fois, mais pour lui comme pour moi, ce fût très fade. Il me demanda si, moyennant finances, je serais d’accord pour soigner quelques-uns de ses amis…
J’acceptai.
Le vendredi suivant, ils étaient quatre, ...