Le mariage de mon cousin
Datte: 27/08/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
oncletante,
groscul,
poilu(e)s,
jardin,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Pedro, Source: Revebebe
... activer sa langue. Mais échappant à mon enlacement, Marie se recula précipitamment :
— Allez, file te coucher maintenant !
Je regagnai donc ma chambre. Les ronflements de l’oncle Eugène persistaient, m’empêchant de m’endormir. Je me remémorai ma soirée ? Je n’en revenais pas : j’avais déchargé dans la bouche de ma tante ! J’aurais même certainement pu la baiser, si j’avais insisté un peu. Tante Marie était dans un tel état de tristesse vis-à-vis de son époux, que je la sentais prête à s’abandonner au premier homme qui lui montrerait un peu de douceur et de compréhension. Et le pire, c’est que si elle avait été d’accord, je n’aurais eu aucun remord à lui faire l’amour.
Au bout d’une heure dans l’obscurité, le sommeil continuant à me fuir, je me levai afin d’aller boire un verre d’eau. Comme je m’approchais de la cuisine, je m’aperçus qu’elle était éclairée. Quelqu’un s’y trouvait, et ce ne pouvait être l’oncle Eugène dont j’entendais les ronflements. Poussant la porte, je découvris tante Marie, vêtue d’une longue chemise de nuit, un verre à la main.
— Toi non plus, tu ne peux pas dormir ? s’exclama-t-elle en m’apercevant.
— Non, répondis-je.
— C’est à cause de ton oncle ?
— Un peu, mais surtout beaucoup à cause de toi, précisai-je.
— Comment cela, à cause de moi ?
Pour toute réponse, je l’attirai contre moi, la forçant à plaquer son ventre contre ma virilité qui, depuis un bon moment, avait retrouvé toute sa force. Et afin qu’elle ne tente pas de se ...
... soustraire à ce contact, je l’immobilisai en lui saisissant fermement les fesses.
— J’ai trop envie de toi, lui soufflai-je à l’oreille. J’ai envie de te faire l’amour…
— Oh, mon chéri, gémit doucement Marie. Moi aussi, j’ai envie de toi… Mais ce n’est pas possible, je suis la femme de ton oncle…
— Il cuve son alcool, il n’en saura rien, tentai-je de la convaincre.
Et pour achever de la persuader, j’imprimai un balancement à ses hanches, forçant ainsi son bas-ventre à se frotter contre la raideur de ma virilité tendue.
— C’est pas possible, haleta Marie, prenant un malin plaisir à cogner son ventre contre le mien. Tu as encore envie ? C’est vrai que tu es jeune… Et moi je suis une vieille femme !
À la façon que ma tante avait de se frotter contre mon membre viril, je compris que la bataille était presque gagnée pour moi :
— Tu es encore très désirable, mentis-je, en laissant mes mains parcourir son gros derrière qui, maintenant, s’agitait sans que je l’y oblige.
— Tu es gentil, murmura Marie d’une toute petite voix.
— Viens, décidai-je soudain, en lui saisissant la taille et l’entraînant dans le couloir.
Lorsque nous passâmes devant la porte de sa chambre, d’où s’élevaient les ronflements d’Eugène, tante Marie eut un moment d’hésitation. Mais comme je la poussais en direction de la mienne, elle ne résista pas et me suivit. Arrivée près de mon lit, elle s’immobilisa, incapable de faire le moindre geste. M’asseyant sur le lit, je lui pris les mains et, doucement, ...