1. Le Donjon (1)


    Datte: 26/08/2019, Catégories: Divers, Auteur: Jieff, Source: Xstory

    ... surtout lorsqu’il y est question de cravache, de lasso … Des chaînes ? Mmmm… Alors, pensez donc, rencontrer l’auteur… dans son château ? J’en frissonne déjà !
    
    Aujourd’hui, je t’ai à moi, à moi seul.
    
    Assis derrière toi je suis en position idéale pour te contempler tout mon saoul. Je t’ai courbée, cambrée, enchaînée sur des tréteaux. J’allume un éclairage discret, parfait pour moi. Tes superbes fesses sous ton slip noir au tissu léger et transparent me laissent songeur. J’aime voir une culotte fine sur les fesses d’une femme, elle cache de chaudes promesses. Ton cul à toi mon esprit lubrique l’imagine plein de choses bouillonnantes. Plus bas, sur ta vulve, le tissu marque une bosse franche, bien fendue, entre tes jambes.
    
    La boisson que l’on t’avait offerte à l’entrée met tes nerfs à fleur de peau. Une boisson de mon invention pour visiteuse de marque, j’en ai testé les nombreux effets, tu les découvriras bientôt.
    
    Tu ne me vois pas mais tu sens ma présence, tu imagines ma contemplation par mon silence. Ton narcissisme forcené te guide, tu jouis intimement d’avoir le cul regardé. Si longtemps ? Tu sais qu’il plait aux hommes. Alors, ce ne peut être qu’avec adoration. Ou bien, étais-tu persuadée qu’ici, dans ce lieu, dans ces conditions, je le contemplais avec vice et perversité, la langue pendante.
    
    Immobilisé comme il l’est ton corps ne peut pas exprimer ton excitation de femme. De petits grognements me disent pourtant ton plaisir intime. Parfois certaines ...
    ... contractions de tes fesses expriment du désir et m’excitent un peu plus. Mon radar croit comprendre ton langage de femelle. Je dis :
    
    - Petite salope, je sors ma bite, tu n’en connais qu’une photo, je la branle, je veux me masturber sur ton cul. Il est bien plus beau que sur papier. Remue-toi, secoue-moi ces fesses et mets-y du vice, excite-moi ou ce sera ça ! Je ponctue ces mots d’un vif claquement de cravache. Un bref saut de tes reins, j’ai visé soigneusement ta fente. Ton slip marqué d’un bel accroc est descendu d’un cran dégageant la marque rosée que le cuir a tracé entre tes fesses. Ton cri est pour moi comme un rire.
    
    - C’est un début ! Tu comprends ? Tu aimeras ça, je le sais. Je vais te faire hurler de douleur et jouir de tous les nerfs de tous tes trous, je te le promet.
    
    Je desserre les chaînes qui te bloquent les reins. Un nouveau coup sec de ma cravache et ta culture profonde d’esclave soumise te rend obéissante. Tu roules les muscles de ton derrière. Un concours de body building, pas moins. Tu ondules du bassin, en anguille vicieuse. Tu sais ce qui plait aux hommes. Tu aimes être admirée, matée. Tu entends ma respiration s’accélérer s’entrecouper de soupirs rauques. Ça t’excite. Tes photos ont rempli leur office. Qui est la proie ? Qui est l’araignée ? Comme toile, tu ne pouvais pas rêver mieux que ces murs de vieilles pierres, ces chaînes et ces ferrailles. Oui, tu nages dans tes fantasmes jusqu’au cul.
    
    Ta chatte mouille et s’entrouvre. Je vois une goutte ...
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