1. Le Donjon (1)


    Datte: 26/08/2019, Catégories: Divers, Auteur: Jieff, Source: Xstory

    ... tout ce qu’il voudrait, même le plus crade.
    
    Penchée vers moi, sa voix n’étant plus qu’un murmure, elle poursuivit :
    
    - Certains soir, quand je suis excitée, c’est à dire souvent, je le rejoins dans son grand lit. Je m’allonge à son coté, il grogne. Tournant mon gros cul vers lui, dans mon dos, je cherche sa bite - facile tellement elle est grosse - et l’attrape des deux mains. Je la frotte lentement contre mes fesses, une main autour de son membre mou, l’autre lui triturant les noix. J’aime me caresser longuement le cul de ce paquet de viande humide et j’adore sentir durcir son truc entre mes fesses. Il réagit toujours trop vite à mon goût; pourtant je fais ce que je peux pour me tripoter moi sans le faire bander tout de suite. Et ces poils rudes qui me grattent la peau - elles sont sensibles à la moindre caresse, mes fesses - une fois bien branlé, bien durci, je présente son énorme truc à mon trou. Bon dieu ! Son gland est si massif que j’ai chaque fois du mal à lui faire passer mon entrée, pourtant grande ouverte par l’excitation. Alors je prends tout mon temps avec son machin qui me glisse dans la raie. Avant même qu’il ne soit dedans, je mouille comme une folle et je fais encore durer. Puis je pousse à chier et le tenant bien droit à pleines mains. Alors, d’un grand mouvement des reins, je force son gland à m’enculer - j’adore ce mot - je le fais entrer et sortir plusieurs fois en poussant pour chier. Je m’imagine enculée de l’intérieur, forcée par un gros étron qui ...
    ... aurait du mal à passer mon anus. Cette idée m’excite. Après un long moment de ce petit jeu douloureux - que j’aime cette douleur ! - mon trou s’est assoupli, je me crache dans la main et enduis son gland de salive. Onctueux alors, il coulisse et je peux en profiter pleinement. Ce salaud, lui, est toujours pressé, il voudrait m’enculer et faire son affaire d’un seul coup ! Mais j’aime trop ça. Je.. j. j’aime que ce soit lent. Mmmmm. Je connais tellement sa queue que je l’imagine serpent lisse rampant à travers mon trou du cul. Un gros reptile se glissant lentement au fond de mon boyau. Sa tête rouge s’enduit et se délecte de mes humeurs liquides. Mmmm…J’aimerai… J’aimerai tant avoir une deuxième langue, là, bien au fond de mon cul, je lécherais ce dard vivant enveloppé serré dans mon intestin. Tu ne peux pas savoir à quel point mon imagination travaille quand il m’encule. Mon esprit voit dans l’obscurité sa bite en gros plan, au ralenti. J’imagine aussi que de son membre sort une longue langue fourchue qui me lèche les boyaux et poursuit son exploration au-delà de son gland. Elle finit par s’enrouler autour de ma langue imaginaire pour le plus long des suçons obscènes. Quand il crache son venin, ma langue se délecte, frétille, se tortille et, enfin, se raidit. Alors à cette idée, je hurle, mon cul bondit et je me tord en tous sens en giclant ma mouille. Ca dure longtemps quand je jouis avec cette idée en tête. Lui ? Il me retient par les mamelles, les ongles plantés dans mes ...
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