Kabir, maman et moi (4)
Datte: 26/08/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: lo1ka, Source: Xstory
... était sur le point d’exploser d’excitation en me masturbant pendant que Kabir me baisait.
— T’aimes ça grosse pute, hein ? T’aimes te faire poutrer comme une salope, hein ? Dis-moi que t’aimes ça pétasse.
— Oui Kabir j’aime ça, répondis-je en gémissant de plaisir.
— T’aimes quoi, pétasse ? me lança-t-il en me donnant deux gifles sur la figure.
— J’aime que tu me baises, Kabir... J’aime que tu me défonces comme une salope.
En comme pour prouver la justesse de mes propos, je sentis venir une charge de sperme que je déposai essentiellement sur mon ventre. Quelques giclées s’étaient écrasées sur mon menton. J’étais euphorique, le plaisir était à son summum. Je fermais les yeux pour apprécier pleinement ce moment. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil. Quel pied !
Lorsque je rouvris les yeux, je regardai Kabir qui était toujours sur moi et continuait à me limer. Mais pour la première fois durant tout notre rapport sexuel, ses yeux n’étaient pas dirigés vers moi. Lorsque je me retournai vers la même direction où il regardait, je fus ...
... horrifié d’apercevoir maman, qui recouvrait sa bouche de ses deux mains comme pour s’empêcher de crier. Son regard épouvanté était figé sur le spectacle de son fils, sur le canapé, en train de se faire baiser en missionnaire par Kabir, et venant tout juste de jouir de plaisir.
— Alors ? T’as vu ce que tu rates, grosse cochonne ? J’suis en train d’enculer ton pédé de fils et il adore ça, regarde !
Comme si la vue de profil que ma mère avait sur moi ne suffisait pas, Kabir se mit debout, me souleva, écarta mes jambes, me mit face à ma mère et me déposa sur son chibre. J’étais maintenant perché dans les bras de Kabir, qui me balançait sur sa grosse bite devant les yeux effarés de maman. Kabir se mit tout à coup à pousser de grands râles et je sentis une énorme charge de sperme chaud m’inonder les intestins. Lorsqu’il se retira de mon cul, son liquide blanchâtre commença immédiatement à suinter. Kabir, pleinement satisfait, me laissa retomber au sol, face à ma pauvre maman qui n’avait toujours pas pu prononcer un mot.
— Maman, je peux t’expliquer...